POUR EN SAVOIR PLUS SUR L'UNAF, SES URAF ET SES UDAF
Voici rencontrés au gré de la toile les informations suivantes:
L'ORIGINE VICHYSTE DE L'UNAF PERMET PEUT-ÊTRE DE COMPRENDRE POURQUOI ELLE CONTINUE À DÉPORTER LES PERSONNES
http://spartacus.info.over-blog.com/pages/UDAFUNAF_une_maladie_francaise_heritee_de_vichy-5735354.html
UDAF,UNAF une maladie francaise héritée de
vichy
L'UNAF,L'UDAF
le cancer de la société francaise
qui
connaît l'unaf et ses UDAF association loi 1901? tirant son origine
du décret de loi de 1942 dite loiGounot
et se revendiquant le seul représentant des familles française? qui connaît ses prérogatives ou ses techniques d'entrisme? leur politique interne et externe?ou COMMENT L'UNAF et ses UDAF ont -ils fait main basse sur le système social en France et l'énorme manne financière le finançant ?
et se revendiquant le seul représentant des familles française? qui connaît ses prérogatives ou ses techniques d'entrisme? leur politique interne et externe?ou COMMENT L'UNAF et ses UDAF ont -ils fait main basse sur le système social en France et l'énorme manne financière le finançant ?
JE
VAIS ESSAYER DE REPONDRE A TOUTES CES QUESTIONS EN VOUS FOURNISSANT LE MAXIMUM
D'INFORMATIONS et je vous invite à faire connaître ces informations pour
qu'une réforme intervienne pour l'avenir des enfants et familles confrontés à
ce rouleau compresseur , "les enfant sont l'avenir de notre pays il
est intolérable de les sacrifiés au dieu profit et privilège merci
"les
TUTELLES CURATELLES"
LES
udaf "GERENT" une grande partie des tutelles, curatelles en France et
une grande partie des services sociaux , ils sont présent dans les
conseils d'administrations des CAF ,CCAS, MSA, CPAM .......ces organismes
financent les services gérés par l'udaf et ses satellites associatif et
sont censés les contrôler "vu l'honnêteté de l'udaf sans aucun
contrôle ont imagine facilement comment est utilisé l'argent des
contribuables" sic (d'ailleurs les salariés de l'udaf sans scrupules
et serviles à l'association reçoivent des "promotions"en intégrants
les caf, cpam etc....bonjour l'égalité des chances , pour l'udaf c'est un moyen
de contrôler tous les rouages du système social et pour les salariés à tout les
niveaux , ils savent qu'il ne faut pas contrarier les directives ou décisions
de l'udaf "c'est leur carrière qui est en jeu") quelques exemple de
l'honnêteté de ces anges du social
exemples:
TUTELLES,
CURATELLES et TUTEURS LES
UDAF volent nos anciens link
Procès de
l'Udaf 64 : De la prison ferme réclamée link
salariés
de l'udaf en colère"quand c'est eux les victimes"link
etc....etc..
faite des recherche "la toile"est pleine
d'exemples, plus sordides les uns que les autres
les choses vont
peut etre évolué
SESSION
EXTRAORDINAIRE DE 2010-2011 SÉNAT:link
Les
changements apportés aux mesures judiciaires de protection
juridique link
juridique link
Une
véritable machine à broyer l'enfance et la famille a été mise en place.
·
PLACEMENTS ABUSIF D'ENFANTS l'udaf est au centre du problème,
le
rapport de Pierre Naves (inspecteur général des affaires sociales ) et
Bruno Cathala (inspecteur des services judiciaires) démontre qu'au moins la
moitié de ces placement sont abusif donc"75000 enfant sur les 150000 sont
"incarcéré de façon abusive"
sur le plan financier :la cour des comptes,estime que chaque année
cela coûte
6 à 8 Milliards € selon les sources de placer nos enfants, alors,
que dans ces placements a peine 20% sont en réel danger. donc 3 MILLIARDS minimum pourrait être économisé , et surtout les souffrances inimaginables de ces enfants et leur parents , l'avenir de ces enfants est hypothéqué sur l'autel scandaleux du profit ENV 150EU/J par enfants ça attire les convoitises (l'UDAF gère les AEMO la plupart des MECs créés pour la circonstance)
6 à 8 Milliards € selon les sources de placer nos enfants, alors,
que dans ces placements a peine 20% sont en réel danger. donc 3 MILLIARDS minimum pourrait être économisé , et surtout les souffrances inimaginables de ces enfants et leur parents , l'avenir de ces enfants est hypothéqué sur l'autel scandaleux du profit ENV 150EU/J par enfants ça attire les convoitises (l'UDAF gère les AEMO la plupart des MECs créés pour la circonstance)
pourquoi
? l'argent
bien sûr 6 milliards d'euro attirent les convoitises ,cette aberration est
possible grasse à l'armée d'assistantes sociale ,éducateurs diplômés ou
non,animateurs etc...qui sont conscient pour la plupart que sans ces
placements abusif ou ces AEMO injustifiés ,le manque à gagner contraindrait
l'udaf et ses associations liés à licencier ainsi que l'ase d'ailleurs ,donc
contraindrait une grande partie de ses acteurs à se reconvertir dans un
métier plus difficile dans un marché de l'emploie sinistré avec des salaires et
des avantages bien moindres, donc tous ce petit monde ferme les yeux
quand ils ne sont pas actif (mensonges calomnies etc...)pour favoriser ces enlèvementsd'enfants
légitimé par au moins 80% des JPE complices ou complaisant se contentant
d'entériner les rapports des service sociaux" UDAF,ASE"sans consulter
les familles
la
perversité du système fait que si un enfant ou un jeune adulte
quitte"souvent pour cause d'âge" ces
structures il faut le remplacer immédiatement . les assistantes social dites de
terrain ont pour rôle de repérer des familles qui auront du mal à se défendre
"fragilisés" et chercher un prétexte pour les mettre officiellement
sous surveillance "AEMO", les enfants dans cette situation sont dans
l'antichambre du placement "de l'enfer" quand un foyer à une place
devenue vacante parce que soit un enfant a été placé dans des famille d'accueil
professionnelle "grassement payé" soit dans un foyer ado ou très
rarement qu'une famille a réussis à se recomposer , ils viennent piocher dans
le fichier AEMO et ainsi de suite les vases communiquant sont bien rodés dans
ce système devenus pervers par l'appât du gain je précise que plus l'udaf
contrôle le système plus les placements augmentent
ces
dénis de démocratie , ce non respect des lois , ce totalitarisme doit cesser au
plus vite!!!!!
et pour quel résultat? Chaque
année, 34000 enfants placés risquent de devenir SDF
Extrait du rapport de M.Jean-Marie Firdion de l’INED (Institut
National des Études Démographiques)
“Parmi les événements survenus durant l’enfance
et l’adolescence, le placement (1) mérite
une attention particulière. Les personnes ayant
été « placées » sont largement sur-représentées
parmi les populations sans domicile (estimées à
23 % sur cette enquête de l’Insee, à comparer à
2 % en population générale logée), en particulier
parmi les plus jeunes (35 % parmi les 18-24 ans), link
à la sortie d'un système semi-carcéral l'enfant quand il ne
rapporte plus" +18 ans" il est livré à lui même ,si par chance ces
institutions n'ont pas annihilé totalement le lien avec ses parents , il pourra
peut etre trouver un refuge , sinon c'est la rue, ses danger et le risque de
sombrer dans la délinquance pour survivre , quelle société
nous construise ces profiteurs sociaux? ,arrêtons le massacre ,poussons le
législateur à légiférer dans l'intérêt supérieur des enfants et de la
société
témoignage (qui décrit avec exactitude les rouages du système)
beaucoup
de bla bla mais pas une réelle investigation dans les problèmes que rencontres
les parents et leurs enfants.
voila comment !!
des rapports outrancier sur les familles afin de leurs permettre de garder nos enfants.
Vous demandez de l'aide ? Vous êtes signalé aux services sociaux,
comme famille en difficulté, famille en précarité, voire même carencée !
Vous avez quelques soucis ou pas ? Vous êtes dénoncés !
Soit par un professionnel de PMI ou un Instituteur ou un voisin
ou votre famille avec qui vous avez des conflits !
Sans enquête préalable et avec des rapports mensongers,
les enfants sont enlevés en urgence à l'école ou chez vous, par
voila comment !!
des rapports outrancier sur les familles afin de leurs permettre de garder nos enfants.
Vous demandez de l'aide ? Vous êtes signalé aux services sociaux,
comme famille en difficulté, famille en précarité, voire même carencée !
Vous avez quelques soucis ou pas ? Vous êtes dénoncés !
Soit par un professionnel de PMI ou un Instituteur ou un voisin
ou votre famille avec qui vous avez des conflits !
Sans enquête préalable et avec des rapports mensongers,
les enfants sont enlevés en urgence à l'école ou chez vous, par
les travailleurs sociaux accompagnés de gendarmes ou de policiers,
dans les maternités chercher les enfants en prétextant que la maman
est fragile ou trop
jeune pour les élever ! ! Tout cela arrive.
Et des mois plus tard Ils vont à l'audience, sans comprendre
pourquoi on leur a pris leurs enfants car on leur aura caché
la teneur des rapports avec une défense maladroite pour un
procès dont la sanction est déjà décidée à l'avance.
Ils sont parfois mal reçus par le juge qui ne les écoute pas et puis
la sanction tombe, terrible, effroyable, hallucinante :
leur enfant leur est retiré pour carence éducative, médicale ou autre !
Et c'est là que les parents vont découvrir un tissu d'affirmations
péremptoires et infondées, des faits mal interprétés,
quand ce ne sont pas des mensonges purs et simples.
Selon les rapports de la cour des comptes, chaque année cela coute
presque de 6 Milliards € à placer nos enfants, alors,
que dans ces placements a peine 20% sont en réel danger.
la reforme du 5 juin 2007 sur la protection de l'enfance
dans la majorité des départements n'a jamais été appliqué,
Pourquoi ??
Et des mois plus tard Ils vont à l'audience, sans comprendre
pourquoi on leur a pris leurs enfants car on leur aura caché
la teneur des rapports avec une défense maladroite pour un
procès dont la sanction est déjà décidée à l'avance.
Ils sont parfois mal reçus par le juge qui ne les écoute pas et puis
la sanction tombe, terrible, effroyable, hallucinante :
leur enfant leur est retiré pour carence éducative, médicale ou autre !
Et c'est là que les parents vont découvrir un tissu d'affirmations
péremptoires et infondées, des faits mal interprétés,
quand ce ne sont pas des mensonges purs et simples.
Selon les rapports de la cour des comptes, chaque année cela coute
presque de 6 Milliards € à placer nos enfants, alors,
que dans ces placements a peine 20% sont en réel danger.
la reforme du 5 juin 2007 sur la protection de l'enfance
dans la majorité des départements n'a jamais été appliqué,
Pourquoi ??
De
multiples témoignages de parents existent pour signaler ces faits ,ces
témoignages se ressemblent tous dénonçant tous les mêmes pratiques , qu'une ou
deux personnes soit mythomanes serait possible mais des milliers dénonçant des
faits avérés , d'une similitudes frappante ne peut qu'être le reflet d'une
réalité et d'un système pervers
l'UNAF
est aussi le"représentant" des familles auprès de l'état et des pouvoir
publics en général (le
seul interlocuteur) contrairement aux syndicat ou le
pluralisme existe L'UNAF a ce privilège "hérité
de vichy" , c'est aussi eux qui décide si tel ou
tel associations pourra entrer dans leur rang et se revendiquer
association familiale et de se fait grignoter le gros gâteau social que
monopolise l'unaf et ses udaf en premier lieu le fond spécial de 25 millions
d'euro
L'UNAF
touche 10 millions pour son propre fonctionnement et reverse 14,3 millions
entre les UDAF. Les Associations Familiales Nationales reçoivent
1,5 millions.
En outre, l’UNAF bénéficie de
650 000 € de subventions complémentaires pour le fonctionnement de ses
propres services (CNAF = 286 000 € ; ministère de l'économie = 27 400 € ;
CNAM = 207 500)
Le financement
public va donc pour 95 % aux UDAF et à l’UNAF, « institutions » qui se contentent de comptabiliser les
adhérents des associations de terrain et « d’assurer la représentation des
familles », c’est à dire de désigner des représentants bénévoles pour
siéger dans divers comités.
le décor est planté l'union des
familles en Europe milite pour une réforme et le pluralisme je me joint à eux
et précise que mes écrits son ma propre opinion que je me suis fait au contacte
de cette organisation que je juge fascisante pour vous éclairer je vous conseil
de lire cet excellent texte retraçant l'histoire de cet aberration française
unique au monde qu'est l'unaf
REPRESENTATIVITE UNAF COUR DES COMPTES 2003. ZERO link
l’UNAF ne pourra durablement prétendre représenter toutes les familles de
France et parler en leur nom avec seulement 8 % de l’effectif, ces 8 % étant
composés pour 45 % d’organismes ruraux, lesquels se composent pour moitié de
salariés de l’ADMR (Aide à domicile en milieu rural) et écoles familiales
rurales. L’heure
est venue là aussi de distinguer entre usagers,
salariés , familles bénévoles et de faire définir et compter ses membres et ses
comptes par un tiers. Déjà l’UNAF a dû se plier à la
procédure de certification externe en tant qu’organisme relevant du secteur
sanitaire et
social.
pour aller plus loin et mieux comprendre "l'unaf ou les vicissitudes du
corporatisme" link
texte
de: "L’Union des Familles en Europe"
site:link
L’origine de l’UNAF
remonte à la promulgation du décret loi du 29 décembre 1942 dit « Loi
Gounod ». Ce texte ne faisait pas disparaître les différents mouvements
familiaux nés au début du siècle, mais les appelait à s’unir dans cette
fédération, la « Fédération Nationale des Familles », qui était
chargée du monopole de représentation des familles auprès des pouvoirs publics.
La fédération nationale était relayée dans chaque département par une
fédération départementale et, localement, par une association familiale unique.
Le gouvernement exerçait une tutelle assez forte sur les activités de ces
structures. La FNF issue de cette « Loi Gounod » n’aura pas vraiment
le temps de commencer à travailler.
En 1945, malgré certaines contestations, cette vision corporatiste
de la représentation familiale fut reprise par une ordonnance du 3 mars. La
nouvelle organisation, baptisée UNAF, a repris l’essentiel des dispositions
Vichyste (le monopole de représentation des familles, l’organisation
pyramidale) à quelques différences près : la tutelle de l’Etat est allégée
et l’association locale unique n’est plus obligatoire.
Dès 1951, l’UNAF s’était vu attribuer d’importantes subventions
versées automatiquement. Elles s’élèvent aujourd’hui à 25 millions d’Euros par
an. Ces subventions – appelées Fonds Spécial - n’ont pas été remises en cause,
malgré le tout récent rapport de la Cour des Comptes. Celle-ci constate
pourtant que l’UNAF n’est pas représentative des familles et que l’automatisme
de son financement – en augmentation de 30 % sur 20 ans - est un privilège
exorbitant.
En 1981, l’UNAF abrogeait la disposition de ses statuts qui
l’obligeait à être dirigée par une majorité de parents ayant des enfants à
charge. Elle n’est plus aujourd’hui qu’une assemblée de grands parents :
ainsi en juin 2004, les 11 nouveaux élus au conseil d’administration de l’UNAF
ne totalisent que 5 enfants mineurs.
Comment
expliquer l’anachronisme de cette institution ? Trois faits récents permettent
de répondre à cette question :
- 2000 : L’UNAF vote pour l’abrogation de la loi qui prolongeait à 22 ans le versement des
allocations familiales ;
- 2002 : l’UNAF vote pour le
transfert de deux milliards d’euros de la branche famille de la Sécurité
Sociale vers la branche vieillesse ;
- 2005 : l’octroi à l’UNAF des 25 millions du Fonds Spécial est
consolidé. Devant le Parlement, le gouvernement affirme sans détour la
subordination de l’UNAF « La
réforme du Fonds spécial (…) vise à moderniser le dispositif de financement
des unions d'associations familiales en assignant aux associations
familiales des objectifs à réaliser compte tenu de la politique familiale
définie par les pouvoirs publics ». On ne saurait être plus explicite…
De l’Histoire pour comprendre
Le mouvement
familial trouve son origine en France à la fin du XIXième siècle.
Il
naît de la révolte des familles nombreuses terriblement paupérisées et de la
prise de conscience d’une partie de la classe politique des dangers de
l’affaissement démographique. Le péril Allemand en est un facteur essentiel.
Le souci
démographique va s’étendre à tous les partis politiques au cours de lapremière
moitié du XX ième siècle. S’en suivent les premières
lois « familiales » telles que l’instauration de la fête des mères,
de la médaille de la famille française, les bonifications familiales des
retraites des fonctionnaires ou des réductions SNCF dans les années 20. Ces
mesures publiques sont accompagnées par des initiatives privées comme la
création des premières allocations familiales par le moyen de caisses de
compensation patronales.
En même temps qu’ils
procèdent à un lobbying intensif sur le sujet, les différents mouvements
familiaux apprennent à travailler ensemble. Les points de vue des associations
de familles nombreuses (la Ligue des Familles nombreuses, la Plus Grande
Famille) tendent à se rapprocher des mouvements ouverts à toutes les familles
(la Fédération Générale des Familles, le Moulin Vert). La division et les
rivalités de personnes sont perçues comme un obstacle au progrès de la Cause.
Pourtant, à l’aube
de la seconde guerre mondiale, l’idée familiale est partagée par tous et c’est
à l’unanimité que la chambre issue des urnes du Front Populaire vote en 1939 le
« Code de la famille » qui prévoit notamment la généralisation des
allocations familiales.
Les premières années
du gouvernement de Vichy voient les mouvements familiaux participer
sans état d’âme aux réformes familiales du Maréchal (qui, en fait, ne seront
pas considérables – l’essentiel ayant été fait en 39).
C’est à cette époque
que naît l’UNAF, appelée à l’époque « Fédération Nationale des
Familles ». Les différents mouvements familiaux ne sont pas
dissous mais appelés à s’unir dans cette fédération chargée du monopole de
représentation des familles auprès des pouvoirs publics. La fédération
nationale est relayée dans chaque département par une fédération départementale
et, localement, par une association familiale unique. Le gouvernement exerce
une tutelle assez forte sur les activités de ces structures. La FNF issue de cette « Loi
Gounod » (DL du 29 décembre 1942) n’aura pas vraiment le temps de
commencer à travailler.
En 1945, malgré
certaines contestations, cette vision corporatiste de la représentation
familiale est reprise par l’ordonnance du 3 mars 1945. La nouvelle organisation
baptisée UNAF reprend l’essentiel des dispositions Vichyste (le monopole de
représentation, l’organisation pyramidale) à quelques différences près :
la tutelle de l'Etat est allégée et l’association locale unique disparaît.
Contrairement au
discours opportunément élaboré par l’UNAF, la préoccupation des associations
familiales après la guerre n’a pas été de se libérer d’une loi Gounot
oppressive, mais bien plutôt d’en obtenir le maintien : « La loi
défunte était le dernier de mes nombreux enfants, enfant parfaitement reconnu
et considéré comme légitime » déclarait Emmanuel GOUNOT « Je me rallie à l’ordonnance, et
suis très heureux de voir que l’essentiel au moins des idées nouvelles pour
lesquelles j’avais combattu, cet essentiel a été maintenu par
l’ordonnance : la préparation de la constitution d’un véritable corps familial
ayant des prérogatives de droit public »[1]
Depuis
1945, la vie « institutionnelle » de l’UNAF a été marquée par deux
évènements :
La sortie et le
retour de mouvements familiaux :
Ø à la fin des années 50, les
associations familiales ouvrières quittent l’UNAF pour y revenir au milieu des
années 1975 sous le nom de CSF (confédération familiale des Familles) avec un
objectif d’entrisme affiché. La Confédération nationale du Logement quittera
l’UNAF, quant à elle, de façon définitive.
Ø La fédération des Familles Rurales,
happée par le monde agricole, reste toujours tentée de prendre son
indépendance : elle estime ne faire avec l’UNAF qu’un« chemin
expérimental » et désire « faire connaître ses
divergences » et« revendiquer des représentations ès qualité
dans les instances officielles où sont en cause les familles rurales » (FFR
– mai 1992).
Ø Entre enfin à l’UNAF, dans les années
1990, l’UFAL (Union des Familles Laïques) qui est, en réalité un succube du
Réseau Voltaire et de la gauche ultra libertaire. Se déclarant ennemie de la
famille, l’UFAL tient néanmoins à profiter de la manne financière de l’UNAF.
Ø Le début du XXIième siècle
voit la naissance d’une fédération d’associations familiales qui refuse
délibérément d’entrer à l’UNAF (Union des Familles en Europe – 22 000
adhérents) et qui remettent en cause le monopole dont elle jouit.
Depuis 1945, les
moyens de l’UNAF n’ont cessé de croître :
Pour exercer sa
mission, l'UNAF reçoit une dotation calculée en pourcentage du montant des
prestations familiales versées par la C.N.A.F. Le montant de cette subvention
-appelée "Fonds Spécial" – était de initialement de 0,03 % puis de
0,07 %. Il fut porté à 0,1 % en 1993.
Le « Fonds spécial » s’élève en pour l’année
2008 à 25,9 millions
d’€
L'UNAF touche 10 millions pour son propre
fonctionnement et reverse 14,3 millions entre les UDAF. Les
Associations Familiales Nationales reçoivent 1,5 millions.
En outre, l’UNAF bénéficie de 650 000 € de
subventions complémentaires pour le fonctionnement de ses propres
services (CNAF = 286 000 € ; ministère de l'économie = 27 400
€ ; CNAM = 207 500)
Le financement public va donc pour 95 % aux UDAF et à
l’UNAF, « institutions » qui se contentent de comptabiliser les
adhérents des associations de terrain et « d’assurer la représentation des
familles », c’est à dire de désigner des représentants bénévoles pour
siéger dans divers comités.
Pour le détail de la
répartition entre mouvements, voir en annexe
L’institution a été
réformée deux fois :
Ø en 1975 ont lieu deux changements
importants : 1° les mouvements spécifiques sont entrés à l’UNAF (ce sont
les mouvements qui défendent une catégorie particulière de familles :
celles qui ont un enfant handicapé, les veuves, etc. ) 2° les mouvements
familiaux ont eu droit de cité en tant que tels au sein de l’UNAF. Auparavant,
seuls les UDAF participaient à la vie de l’UNAF.
Ø En 1981, l’UNAF (qui a déjà beaucoup
vieilli) abroge la disposition de ses statuts imposant que le conseil
d’administration de l’Union soit composé pour moitié au moins de pères et mères
de famille ayant au moins 3 enfants et pour les 2/3 de pères et mères de
famille ayant un enfant mineur à charge.
Etat des lieux en
2008 :
Le mouvement familial
en France (chiffres 2008)
758 031 familles
adhèrent en France à une association familiale ou réputée familiale affiliée
indirectement à l’UNAF. On distingue au sein de l’UNAF:
* les associations
« à but spécialisé » (comme la FAVEC qui regroupe les veuves ou
l’UNAPEI qui réunit les parents d’enfants handicapés) qui défendent les
intérêts de familles rencontrant un problème particulier.
Pour faire nombre,
l’UNAF compte parmi les associations spécialisées de nombreuses associations
qui n’ont pas de caractère familial telles que l’Aide à Domicile en Milieu
Rural (100 000 adhérents) La Cour des Comptes estime que de nombreuses associations
comptabilisées par l’UNAF ne devraient pas l’être : « En milieu rural, notamment,
certaines associations incluent des structures prestataires de services
rémunérés et, de ce fait, le nombre de leurs membres se trouve augmenté par la
prise en compte de tous les bénéficiaires de ces services ».
* et les
associations « à but général », dont la mission est de défendre
l’ensemble des intérêts matériels et moraux des familles. Les associations
familiales à but général sont au nombre de huit : les Familles Rurales (151 000 familles adhérentes, très
spécialisées en milieu rural), Familles de France (62 000
familles, généraliste), les Associations Familiales Catholiques (25
000 familles adhérentes, confessionnelle) et la Confédération Syndicale
des Familles (28 300 familles, de gauche), la Confédération
Nationale des Familles Laïques (22 400 familles - très à gauche mais
familiale), l’Union des Familles Laïques (4 700 familles- très
à gauche et anti familiale) et les Associations Familiales Protestantes (2
900 familles – Pierre-Patrick Kalthenbach)
En 2002, est apparue
l’Union des Familles en Europe (25 000 familles) qui a décidé
de ne pas demander son adhésion à l’UNAF.
L’UNAF, combien de
divisions ?
La
baisse du nombre d’adhérents à l’UNAF se poursuit
Communiqué du 24 juin 2011
Présumée représentative des
familles par la loi, l’Union Nationale des Associations Familiales (UNAF) ne
regroupe que 0,05 % des 15 millions de familles vivant en France. Depuis 15
ans, elle a encore perdu 210 000 adhérents dont 16 000 l’an passé. Sa
légitimité est de plus en plus faible.
A Nancy, le week-end
des 25-26 juin 2011, nouvelle parodie de concertation sur la politique
familiale : deux ministres s’exprimeront à l’assemblée générale de l’UNAF,
unique interlocuteur de l'Etat en matière familiale.
Qu’est-ce que
l’UNAF ? C’est une institution créée par Vichy, légèrement ravaudée en
1945 et 1972. Elle reçoit, chaque année, 26 millions d’euros de subventions. La
loi la présume « représentative de l’ensemble des familles ».
Pourtant, comme le
notait déjà la Cour des Comptes en 2005, de facto l’UNAF n’est pas
représentative des familles. Non seulement elle ne regroupe que 0,05% d’entre
elles, mais encore ses effectifs ne cessent de diminuer, particulièrement au
sein des familles « tout venant », c'est-à-dire non concernées par un
problème particulier.
Il est donc
politiquement inacceptable que le gouvernement prenne l’UNAF comme
interlocuteur unique.
C’est, en outre,
juridiquement inadmissible : en effet, avec la décision QPC n°3 du 18 mai
2010, le Conseil Constitutionnel a mis fin au monopole dont l’UNAF prétendait
bénéficier et que les gouvernements respectaient béatement (c’est idéal, un
interlocuteur unique, muselé par une grasse subvention !).
La désaffection
croissante des familles à l’égard de l’UNAF rend maintenant urgente une réforme
de la représentation des familles. Nombreux sont les sujets où elles doivent
pouvoir s’exprimer en toute indépendance.
SOCIETE / FAMILLE
Les injustices et la complaisance de la justice et de l'administration envers l'UNAF qui regroupe les UDAF qui, elles-mêmes, regroupent les associations familiales, m'ont amenée à en rechercher les causes et, en particulier, le lien avec la société française.
La question est de savoir, étant donné les plaintes, s'il s'agit d'incompétences ou d'une dégénérescence de l'UNAF qui serait plus intéressée par le profit financier que par le bien être des personnes ou familles.
Par la découverte de l'histoire de la naissance de cette association, de ces buts et surtout de son évolution par la prise de contrôle des organismes sociaux en France "spécificité française unique en Europe et dans le monde", son fonctionnement est proche du "fascisme".
Elle est d'ailleurs née sous vichy en collaboration avec ce gouvernement dictatorial et n'a que très peu évolué.
Pour comprendre la nature et l'implication de cette "association institution" il est impératif de lire cet excellent texte :
"l'UNAF ou les vicissitudes du corporatisme"
Les injustices et la complaisance de la justice et de l'administration envers l'UNAF qui regroupe les UDAF qui, elles-mêmes, regroupent les associations familiales, m'ont amenée à en rechercher les causes et, en particulier, le lien avec la société française.
La question est de savoir, étant donné les plaintes, s'il s'agit d'incompétences ou d'une dégénérescence de l'UNAF qui serait plus intéressée par le profit financier que par le bien être des personnes ou familles.
Par la découverte de l'histoire de la naissance de cette association, de ces buts et surtout de son évolution par la prise de contrôle des organismes sociaux en France "spécificité française unique en Europe et dans le monde", son fonctionnement est proche du "fascisme".
Elle est d'ailleurs née sous vichy en collaboration avec ce gouvernement dictatorial et n'a que très peu évolué.
Pour comprendre la nature et l'implication de cette "association institution" il est impératif de lire cet excellent texte :
"l'UNAF ou les vicissitudes du corporatisme"
ENORME ET SURPRENANT
La première chose à dire est que l'UNAF n'a pas de statut reconnu à part d'être "d'utilité publique".
C'est une association qui s'est créée elle-même il y a environ 60 ans de par la loi 1901.
La Cour d'Appel de Paris ne s'en est aperçu qu'en 2007.
L'UNAF est un organisme qui certainement, à l'origine, se voulait bienveillant et désirait représenter l'ensemble des familles auprès des pouvoirs publics pour en devenir le conseil et l'auxiliaire.
Par la suite, l'UNAF s'est octroyé des pouvoirs très contestables ainsi que le privilège de diriger et contrôler, par la force, les services sociaux.
Les pouvoirs publics sont sous l'emprise d'une simple association qui a pris de l'envergure au cours des ans.
L'UNAF et les UDAF sont des organismes parasites qui filtrent, qui imposent l'adhésion afin de mieux diriger et qui ne sont pas encore, à ce jour, contrôlés.
Parasites. Pourquoi ? Parce qu'ils ne sont pas représentatifs de toutes les familles de la Société française et pourtant, ils vivent, en majorité, des allocations familiales en baisse à leur profit. Ils reçoivent des subventions extrêmement importantes qui n'ont plus lieu d'être
L'UNAF représente seulement 6 % des familles et encore les membres de ces familles qui adhérent à une association familiale ne savent pas que leur inscription permet à l' UNAF de représenter la totalité des familles françaises sans aucun contrôle malgré les nombreuses malversations et disfonctionnements constatés.
Les caf, les ccas ,les foyers familiaux et beaucoup d'autres services sociaux sont contrôlés par l'UNAF qui, de ce fait, gère des milliards et a un budget de fonctionnement de plusieurs millions d'euros.
A présent, l'UNAF cherche à avoir un pouvoir décisionnaire dans la cpam et elle y est déjà en tant qu'observateur .
Cette association corporatiste non contrôlée évince toute nouvelle association familiale qui ne se soumet pas à son dictat.
Cela n'a rien de démocratique.
Quelques institutions étatiques se sont permis de critiquer timidement le monopole , le mode de gestion et d'administration de l'UNAF : le conseil consultatif constitutionnel et la cour des comptes et dernièrement on parle d'une réforme avec la création d'un haut conseil pour des politiques familiales.
Son corporatisme, ses idées passéistes, son pouvoir sans contre pouvoir sur les administrations sociales sont une aberration dans un pays qui se dit le pays des droits de l'homme
MON PROBLEME :
Défendre les droits des familles comprend aussi "défendre" les majeurs protégés et ces institutions, tolérées depuis 2007 pour la raison qu'elles ont pris trop d'ampleur, ne sont-elles pas aussi la couverture des organismes de tutelle ?
Ce qui m'inquiète depuis le début de mon enquête est que les représentants des associations de tutelle, "chapeautées par l'UNAF" deviennent, en 2012, auxiliaires de justice.
Si je comprends bien, la justice collabore avec un organisme hors la loi et puise ses collaborateurs mandatés et bientôt auxiliaires parmi les adhérents de l'UNAF
J'ai fait des études, j'ai travaillé mais, mariée à un militaire dont la carrière lui a permis d'avoir des mutations très fréquentes en famille, il m'a été difficile d'assurer un poste et de me faire une place reconnue avec les privilèges des salariés.
Après guerre, l'UNAF encourageait les femmes à rester au foyer tout d'abord pour encourager à remonter la démographie, à élever leurs enfants mais aussi pour trouver de l'aide bénévole.
Il leur était versé une allocation qui s'est peu à peu amenuisée jusqu'à s'éteindre.
Je n'ai pas bénéficié de cette allocation pourtant j'étais mère de trois enfants et ai du, pour le bien-être de la famille, sacrifier ma carrière.
L'âge de la retraite arrive et elle sera au prorata de mes années de travail et de mon nombre d'enfants élevés.
Je vis seule à présent et la somme va être plus que modique.
Quelle situation imbécile mais pourtant sûrement réfléchie par les organismes !
Je sais, à présent, qu'ils s'y retrouvent par un autre moyen puisqu'illégalement l'UNAF contrôle les services publics et gère des millions d'euros apportés par une fausse représentation de la totalité des familles françaises.
Cela lui permet de bénéficier de privilèges qu'elle s'est elle-même accordée et ceci, je le répète, de façon indépendante et non contrôlable
La première chose à dire est que l'UNAF n'a pas de statut reconnu à part d'être "d'utilité publique".
C'est une association qui s'est créée elle-même il y a environ 60 ans de par la loi 1901.
La Cour d'Appel de Paris ne s'en est aperçu qu'en 2007.
L'UNAF est un organisme qui certainement, à l'origine, se voulait bienveillant et désirait représenter l'ensemble des familles auprès des pouvoirs publics pour en devenir le conseil et l'auxiliaire.
Par la suite, l'UNAF s'est octroyé des pouvoirs très contestables ainsi que le privilège de diriger et contrôler, par la force, les services sociaux.
Les pouvoirs publics sont sous l'emprise d'une simple association qui a pris de l'envergure au cours des ans.
L'UNAF et les UDAF sont des organismes parasites qui filtrent, qui imposent l'adhésion afin de mieux diriger et qui ne sont pas encore, à ce jour, contrôlés.
Parasites. Pourquoi ? Parce qu'ils ne sont pas représentatifs de toutes les familles de la Société française et pourtant, ils vivent, en majorité, des allocations familiales en baisse à leur profit. Ils reçoivent des subventions extrêmement importantes qui n'ont plus lieu d'être
L'UNAF représente seulement 6 % des familles et encore les membres de ces familles qui adhérent à une association familiale ne savent pas que leur inscription permet à l' UNAF de représenter la totalité des familles françaises sans aucun contrôle malgré les nombreuses malversations et disfonctionnements constatés.
Les caf, les ccas ,les foyers familiaux et beaucoup d'autres services sociaux sont contrôlés par l'UNAF qui, de ce fait, gère des milliards et a un budget de fonctionnement de plusieurs millions d'euros.
A présent, l'UNAF cherche à avoir un pouvoir décisionnaire dans la cpam et elle y est déjà en tant qu'observateur .
Cette association corporatiste non contrôlée évince toute nouvelle association familiale qui ne se soumet pas à son dictat.
Cela n'a rien de démocratique.
Quelques institutions étatiques se sont permis de critiquer timidement le monopole , le mode de gestion et d'administration de l'UNAF : le conseil consultatif constitutionnel et la cour des comptes et dernièrement on parle d'une réforme avec la création d'un haut conseil pour des politiques familiales.
Son corporatisme, ses idées passéistes, son pouvoir sans contre pouvoir sur les administrations sociales sont une aberration dans un pays qui se dit le pays des droits de l'homme
MON PROBLEME :
Défendre les droits des familles comprend aussi "défendre" les majeurs protégés et ces institutions, tolérées depuis 2007 pour la raison qu'elles ont pris trop d'ampleur, ne sont-elles pas aussi la couverture des organismes de tutelle ?
Ce qui m'inquiète depuis le début de mon enquête est que les représentants des associations de tutelle, "chapeautées par l'UNAF" deviennent, en 2012, auxiliaires de justice.
Si je comprends bien, la justice collabore avec un organisme hors la loi et puise ses collaborateurs mandatés et bientôt auxiliaires parmi les adhérents de l'UNAF
J'ai fait des études, j'ai travaillé mais, mariée à un militaire dont la carrière lui a permis d'avoir des mutations très fréquentes en famille, il m'a été difficile d'assurer un poste et de me faire une place reconnue avec les privilèges des salariés.
Après guerre, l'UNAF encourageait les femmes à rester au foyer tout d'abord pour encourager à remonter la démographie, à élever leurs enfants mais aussi pour trouver de l'aide bénévole.
Il leur était versé une allocation qui s'est peu à peu amenuisée jusqu'à s'éteindre.
Je n'ai pas bénéficié de cette allocation pourtant j'étais mère de trois enfants et ai du, pour le bien-être de la famille, sacrifier ma carrière.
L'âge de la retraite arrive et elle sera au prorata de mes années de travail et de mon nombre d'enfants élevés.
Je vis seule à présent et la somme va être plus que modique.
Quelle situation imbécile mais pourtant sûrement réfléchie par les organismes !
Je sais, à présent, qu'ils s'y retrouvent par un autre moyen puisqu'illégalement l'UNAF contrôle les services publics et gère des millions d'euros apportés par une fausse représentation de la totalité des familles françaises.
Cela lui permet de bénéficier de privilèges qu'elle s'est elle-même accordée et ceci, je le répète, de façon indépendante et non contrôlable
N'Y AURAIT-T-IL PAS VICE DE FORME ?
Pourtant l'UNAF reconnaît :
Pourtant l'UNAF reconnaît :
Agir sous contrainte. Etre "sous" tutelle ou curatelle dans la France contemporaine 30/11/2000
Alors qu'elle représente près d'1% de la population française, et qu'elle croît constamment, la population « judiciairement protégée » (« bénéficiant » d'une tutelle, d'une curatelle ou d'une tutelle aux prestations sociales) est largement méconnue en France. Que signifie être « sous tutelle » ? Comment vivent les personnes judiciairement protégées ?
« Être sous tutelle » signifie vivre sous l'emprise d'un puissant système de contraintes, certaines reconnues et d'autres beaucoup plus insidieuses. Toutefois, la personne judiciairement protégée réagit et déploie des tactiques qui lui permettent d'accomplir ce qui semble souvent être un but ultime : la conquête et la reconnaissance de son identité. Cet ouvrage se conclut par quelques propositions, pour modifier la loi et l'organisation du système tutélaire, ou pour envisager d'une autre manière la relation entretenue avec la personne judiciairement protégée.
Au-delà d'une étude de terrain, cet ouvrage pose la question de la nature de la loi, du travail social, ou de la simple relation, qui sont à la fois et indissociablement des contraintes et des portes de secours pour une personne souvent en détresse. La gageure, pour celui qui est chargé d'une mesure de protection comme celui qui agit dans le « social », est alors d'amenuiser la contrainte afin de laisser plus de champ à l'épanouissement.
Gilles SÉRAPHIN, sociologue, est responsable de l'Observatoire National des Populations "Majeurs protégés" (ONPMP) de l'UNAF
Conclusion : UNAF d'utilité publique ou actrice de l'accélération des contraintes en 2012 quand, dans le domaine des tutelles, ses adhérents, mandatés par la Justice, deviendront des auxiliaires de Justice inattaquables (aberrant synonyme, dans ce contexte d' accomplis, corrects, exemplaires, honnêtes, impeccables, modèles, probes, sans reproche, vertueux. ? et innocents. Pour ce dernier, je fais une exception. Il est tellement facile de jouer les innocents ...
Et aux innocents les mains pleines mais je ne parle pas de celles des majeurs protégés
Par fraterniteliberticide.annalysa.over-blog.com Publié dans : problèmes de société
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Alors qu'elle représente près d'1% de la population française, et qu'elle croît constamment, la population « judiciairement protégée » (« bénéficiant » d'une tutelle, d'une curatelle ou d'une tutelle aux prestations sociales) est largement méconnue en France. Que signifie être « sous tutelle » ? Comment vivent les personnes judiciairement protégées ?
« Être sous tutelle » signifie vivre sous l'emprise d'un puissant système de contraintes, certaines reconnues et d'autres beaucoup plus insidieuses. Toutefois, la personne judiciairement protégée réagit et déploie des tactiques qui lui permettent d'accomplir ce qui semble souvent être un but ultime : la conquête et la reconnaissance de son identité. Cet ouvrage se conclut par quelques propositions, pour modifier la loi et l'organisation du système tutélaire, ou pour envisager d'une autre manière la relation entretenue avec la personne judiciairement protégée.
Au-delà d'une étude de terrain, cet ouvrage pose la question de la nature de la loi, du travail social, ou de la simple relation, qui sont à la fois et indissociablement des contraintes et des portes de secours pour une personne souvent en détresse. La gageure, pour celui qui est chargé d'une mesure de protection comme celui qui agit dans le « social », est alors d'amenuiser la contrainte afin de laisser plus de champ à l'épanouissement.
Gilles SÉRAPHIN, sociologue, est responsable de l'Observatoire National des Populations "Majeurs protégés" (ONPMP) de l'UNAF
Conclusion : UNAF d'utilité publique ou actrice de l'accélération des contraintes en 2012 quand, dans le domaine des tutelles, ses adhérents, mandatés par la Justice, deviendront des auxiliaires de Justice inattaquables (aberrant synonyme, dans ce contexte d' accomplis, corrects, exemplaires, honnêtes, impeccables, modèles, probes, sans reproche, vertueux. ? et innocents. Pour ce dernier, je fais une exception. Il est tellement facile de jouer les innocents ...
Et aux innocents les mains pleines mais je ne parle pas de celles des majeurs protégés
Par fraterniteliberticide.annalysa.over-blog.com Publié dans : problèmes de société
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SAMEDI 30 AVRIL
Je tique sur beaucoup de points au niveau de la régularité de cette curatelle, renforcée ou pas.
- Tout d'abord parce qu'il était prévu que l'excédant d'argent soit mis à ma disposition sur un compte ou entre mes mains
- le curateur doit intervenir pour ASSISTER. Il ne peut agir seul. Son rôle se limite à détecter la nécessité d'agir et à essayer d'en convaincre le protéger. Il ne peut pas passer outre. Seul le Juge le peut.
Mais la meilleure, tant que la curatelle est ouverte, LE JUGE PEUT DONNER SON ACCORD A POSTERIORI A UN ACTE IRREGULIER DU CURATEUR.
- Tout d'abord parce qu'il était prévu que l'excédant d'argent soit mis à ma disposition sur un compte ou entre mes mains
- le curateur doit intervenir pour ASSISTER. Il ne peut agir seul. Son rôle se limite à détecter la nécessité d'agir et à essayer d'en convaincre le protéger. Il ne peut pas passer outre. Seul le Juge le peut.
Mais la meilleure, tant que la curatelle est ouverte, LE JUGE PEUT DONNER SON ACCORD A POSTERIORI A UN ACTE IRREGULIER DU CURATEUR.
Ici, je pose une question :
Mais dans le cas où le curateur se passe de la signature du propriétaire du logement où se rend la personne majeure protégée (et du majeur protégé bien sûr mais il a le droit) pour faire un contrat avec une agence immobilière qui n'est pas intervenue ni auprès du propriétaire, ni du majeur protégé pour la location ?
IL Y A FAUTE ENVERS 1 TIERS DE LA PART DU CURATEUR (et ce n'est pas la seule faute depuis presque 6 ans). MONSIEUR LE JUGE PEUT REGULARISER CELA ?
EN OUTRE, pour le curateur ad hoc, qui a vérifié des comptes qui dataient d'avant la mesure, il ne pouvait étudier que ceux établis 2 ans avant la mise sous mesure et, d'après ce que j'ai lu, seulement 5 ans après que cette mesure ait été prise.
Je suis sous mesure depuis mars 2005. Le curateur ad hoc a été nommé en septembre 2010. Je lui ai remis mes documents le 17/09/2010 et son compte-rendu est tombé en 2011 et sous scellés bien sûr.
SON COMPTE-RENDU n'est PAS VALABLE et il a permis d'extorquer 115000,- euros à mon père et lui fait perdre 105000,- euros.
J'ai réclamé mes documents. Le 1/3 m'a été rendu. Il manque, notamment, les comptes en 2005 de mon fils qui a été curateur quelques mois. Ces comptes étaient accompagnés d'un courrier de Madame la Juge qui soulevait le problème d'un studio (voir plus loin) sur lequel elle a fermé les yeux pendant 6 ans pour donner le soin, avant sa mutation, à son successeur de faire un BILAN BIDON par l'intermédiaire du curateur ad hoc.
Le CYNISME est de rigueur :
Un médecin assermenté en 2010 change son diagnostic favorable en défavorable à la suite de l'intervention de la curatrice.
Celle-ci me dit, après coup, "j'ai suivi le diagnostic du médecin assermenté pour établir mon compte-rendu sur vous à Monsieur le Juge".
QU'EST DEVENU le diagnostic favorable précédent ?
Il a été carrément enlevé de la circulation pour me forcer à faire appel à un autre médecin qui s'est rangé, après coup, du côté de la curatrice.
Je rajouterais bien quelque chose mais c'est un gros mot.
C'EST UN PIEGE. ILS FONT TOUT POUR ME FAIRE PASSER POUR UNE PARANOIAQUE EN PLUS D'UNE BIPOLAIRE.
S'IL M'ETAIT DONNE LA MOINDRE EXPLICATION, JE N'EN SERAIS PAS A ME POSER AUTANT DE QUESTIONS depuis 2 ANS.
Mais, il n'ont pas tout à fait tort : paranoïaque, je le deviens grâce à leurs bons soins.
Mon choix de musique pour l'égalité
[[http://youtu.be/k2W4-0qUdHY]]
PAR une VERITABLE fraternité **
Paroles :
Nous sommes le monde, nous sommes les enfants, nous sommes ceux par qui arriveront des jours meilleurs ...**
??
Il faut le dire vite où en langue étrangère
Suite, revue et transformée :
Il vient un temps où l'on reçoit un appel au secours
Où le monde doit se dresser comme un seul homme
Nous ne pouvons continuer
de prétendre, jour après jour,
que quelqu'un
//saura changer d'un seul coup de gomme
ce qu'engendre un système qui ôte la liberté.//
Extraits de Midnight Express - Section 13
Bad Machine
[[http://youtu.be/fRiSnqgVy88]]
[[http://youtu.be/shlBZZ-IQYY]]
Juste pour montrer dans quel sens je tourne
Sketch
[[http://youtu.be/T5_X1tafmqo]]
Vous pourrez trouver, plus bas, mon portrait.
CURATELLE 512 A REBONDISSEMENTS
Ce blog représente une recherche d'informations sur mon cas précis mais sachez qu'il peut s'adapter à tous les majeurs protégés qui ont besoin, ou pas, de mesure juridique.
MA SUSPICION EST LEGITIME ET A ETE ENTRETENUE PAR UNE OMISSION VOLONTAIRE D'INFORMATIONS, PUIS UN REFUS.**
J'ACCUSE
la gérante mandatée d'avoir aliéné mes droits,
de m'avoir fait croire que je n'avais pas droit de regard sur mes affaires,
d'être intervenue auprès d'organismes divers afin que je ne puisse pas obtenir d'informations,
d'être intervenue auprès d'un médecin assermenté pour lui demander de transformer son diagnostic de favorable en défavorable, de s'être accaparé ce diagnostic alors qu'il était à ma demande et payé par mes soins.
En outre, j'accuse la curatrice d'avoir détourné ma correspondance personnelle,
de ne pas m'avoir fait prendre connaissance des documents administratifs me concernant,
de m'avoir laissé souffrir physiquement notamment par manque de chaussures handicapées
et d'avoir utilisé des mesures d'intimidation.
Je reprends les points de la charte bafoués :
- respect de la dignité de la personne et de son intégrité
- droit à l'information
- consentement éclairé et participation de la personne
- droit à une intervention personnalisée essentiellement pour retrouver l'autonomie et donc la possibilité de réinsertion
- le droit à l'accès aux soins
mais, sur ce point, je reste mitigée. Je n'avais, par manque d'informations, que sa désapprobation pour ce genre de frais
+ tous ce qui concerne les problèmes d'argent :
- l'excédent aurait dû être laissé à ma disposition. Blocage bancaire avec retraits ponctuels espacés sur autorisation.
Et ce qui a fait déborder le vase :
- de n'avoir pas honoré mes factures et d'en avoir laissé ce soin à mon père.
- éventuellement d'avoir grugé les Juges ?
En tous cas des mesures ont été prises à mon encontre qui ont eu la conséquence de faire considérer tous les frais de mon père comme dons manuels et de l'avoir puni de son dévouement (et non générosité) envers moi en lui faisant perdre 105000,- euros (intervention de Madame La Juge avant de quitter son poste et par volonté de me nuire puisqu'elle était au courant depuis le début des arrangements financiers pour que mon père récupère sa mise) tout en l'escroquant de 115000,- supplémentaires pour qu'il ne soit pas possible de dire qu'elle est dans son tort.
La situation est la suivante :
J'ai été mise sous curatelle et évidemment sous influence de l'entourage social et médical.
Plus tard, j'apprends que la curatrice n'avait pas à m'évincée de mes affaires.
J'en demande les causes à Madame la Juge mais cela n'a pas l'air d'être son problème.
Alors, je cherche par moi-même le pourquoi du comment et je rencontre des barrages qui n'ont pas lieu d'être.
J'apprends que la curatrice va devenir auxiliaire de Justice.
Je n'arrive déjà pas à me faire entendre d'un organisme sans statut et de la Justice, cela ne présage rien de bon pour moi. Je m'inquiète.
J'ai pris perpet puisque je suis d'avant la loi du 5 mars 2007. La mesure est révisable jusqu'en 2014 mais la curatrice a son mot à dire quant au maintien de la mesure.
Elle ne m'a pas apporté son assistance. J'en déduis donc que le dossier qu'elle remettra au juge sera défavorable pour ma réinsertion.
Mais pourquoi n'a-t-elle pas répondu à mes demandes d'explications ?
Logiquement soit parce qu'elle me sait autonome,
soit parce qu'elle a quelque chose à cacher,
soit parce que la situation a dégénéré et que ce que j'ai découvert quant au fonctionnement des tutelles en général n'est bon à révéler.
"Toute prétendue réforme du système tutélaire ne relèverait-elle pas d'une nouvelle escroquerie judiciaire, sociale et politique ?"
Quel est l'objectif ? PROTEGER ?
BIZARREMENT : les pouvoirs publics semblent frappés par la passion de l'ignorance.
POURQUOI, sous curatelle, mon souhait de m'intéresser, de participer à mes affaires,
d'en reprendre le contrôle progressivement m'est-il REFUSE ??
Ceci se fait de façon secrète : barrages au niveau des organismes. J'ai beau demander la raison, personne ne me répond !
Intéressant article sur la SPA en danger.
Rien à voir ? Et pourtant ....
Je l'ai signé avec ces mots :
8518. Signé par annick louise - le 21/04/2011 à 22:00:32
Le cynisme est un fléau qui prend de l'ampleur dans une société ou l'économie est plus importante que l'homme lui-même. Alors, les animaux, nos meilleurs amis ou pas, pas de pitié. Encore une fois, ce n'est de la faute à personne puisque de l'humanité il ne reste plus que le nom. (Mais là, j'exagère. Individuellement, la plus grande majorité des gens n'est pas méchante. C'est le système qui est cruel. Ce qui n'empêche pas de dire que certains en sont à l'origine).
[[<a href="http://www.mesopinions.com/Qu-advient-il-de-la-SPA---Quel-detournement-de-sa-vocation-a-lieu-sous-la-gouverne-de-l-administratrice-provisoire---petition-petitions-c2a8d7f32d2b760b59acc3cf08beaf96.html" target="_blank" title="petition"><img src="http://www.mesopinions.com/_images/petition-1.gif" style="border:0;" alt="petition"/></a>]]
Signature pétition
[[<a href="http://www.mesopinions.com/Qu-advient-il-de-la-SPA---Quel-detournement-de-sa-vocation-a-lieu-sous-la-gouverne-de-l-administratrice-provisoire---petition-petitions-c2a8d7f32d2b760b59acc3cf08beaf96.html" target="_blank" title="petition">Signer la petition</a>]]
"La manipulation de la personnalité est une des pires choses qui puisse être faite à un être humain. Il y a quelque chose de pire que mettre un terme au corps de quelqu'un : mettre un terme à son être, à sa volonté, à son objectivité, à sa liberté la plus profonde pour l'utiliser et l'exploiter vilement.
Ceci est précisément ce que beaucoup de groupes, organisations et individus font actuellement avec d'autres. Le lavage de cerveau est quelque chose qui se fait actuellement de manière régulière. C'est quelque chose qui est dans la rue, à l'école, dans la politique, dans la religion… il ne nous est pas étranger, même si personne ne nous a dit de quoi il en retourne. C´est un sujet tabou et occulte à la connaissance générale, parce que beaucoup d'organisations puissantes ont en lui beaucoup trop d'intérêt. C'est un danger sérieux pour les jeunes, pour la société complète et un danger grave pour les libertés. Une société libre dans la manière n´a aucune valeur si elle n'est pas libre sur ce qui est le plus important, sur le fond.
Et la meilleure manière de prévoir et d'essayer de déraciner ce problème est l'information, la connaissance que la manipulation de l'esprit est quelque chose qui existe, qui est utilisé pour exploiter des individus, des sociétés et des nations complètes. Il ne s'agit pas d'alarmer, mais de prévoir et, surtout, d'informer. L'ignorance est le meilleur bouillon de culture pour la manipulation et la connaissance à l´époque où nous vivons n'est pas seulement un droit mais une obligation.
La véritable liberté n'est pas seulement quelque chose qui a à voir avec les aspects quotidiens de la vie. La véritable liberté est dans la libre pensée, dans la capacité de critique et d'analyse, dans la capacité de remettre en question et passer au tamis de la propre raison et des propres critères toute affirmation, idée ou doctrine qu'on nous veut imposer. Cette liberté profonde est la base et l'essence du meilleur de la condition humaine. Sans cette liberté nous nous exposons à être endoctrinés, être manipulés, et vivre la vie que d'autres veulent que nous vivions, RENONCER A CE QUE NOUS SOMMES VRAIMENT POUR LE BENEFICE D'INTERETS ETRANGERS."
ENQUÊTE PERSONNELLE
MON CAS :
CURATELLE 512 en mars 2005 à la suite d'une dépression après divorce.
REFORME : de par la loi 2007, mise en vigueur en 2009 :
seules les personnes atteintes d'une maladie psychiatrique
ou physique empêchant l'expression de la volonté feront
l'objet d'une protection juridique.
Maladie psychiatrique subite décelée chez moi en 2010 (bipolarité !?)
et programmation en cours du maintien de la mesure ???
Il y a forcément quelque chose qui m'échappe. LA LOI du 5 mars 2007, ARTICLE 425 du code civil :
POSSIBILITES DE MISES SOUS MESURES pour altérations mentales ou physiques médicalement constatées QUI EMPECHENT L'EXPRESSION DE LA VOLONTE.
C'est à ce stade que rien n'est clair.
Altérations mentales qui empêchent l'expression de la volonté, (et je précise la volonté d'expression pour ne rien omettre)?
Même chose pour les altérations physiques.
Il y a une vilaine OMISSION. C'est sous-entendu : ne pas pouvoir s'exprimer PHYSIQUEMENT et MENTALEMENT.
Il paraîtrait que sont mises en cause les altérations mentales qui empêchent de pourvoir à ses intérêts ?
Prodigue ? La Loi 2007 a supprimé cette cause.
Ne pas savoir compter ? J'ai un BTS de secrétaire comptable avec titularisation de la Chambre de Commerce et d'Industrie.
Comme ce ne sont pas des altérations, CETTE BIPOLARITE TOMBE A PIC mais bipolaire n'entraîne pas, à tous les coups, dépensière.
RESUME.
Divorce difficile sur plusieurs années,
dépression avec alcoolisations,
hospitalisation longue avec prescriptions massives d'antidépresseurs,
mise sous curatelle après 6 mois d'hôpital,
sortie définitive fin 2007 et désintoxication urgente des médicaments prescrits.
Erreur décelée par le psychiatre de la clinique : je n'avais pas de couverture thymorégulatrice pour accompagner les antidépresseurs.
Appétit pénible (faim + nausées)
soif permanente
vessie déréglée
prise de poids très importante,
hypothyroïdie décelée.
Et je serais devenue bipolaire alors que les documents en ma possession, qui datent d'avant l'hospitalisation, n'attestent d'aucune psychose.
Ma réaction :
COMPRENDRE C'EST DESOBEIR ? MAIS POURQUOI SUIS-JE, BIPOLAIRE OU PAS, DANS L'OBLIGATION DE SUBIR LES ABUS DE CETTE CURATELLE et bien entendu ... DE ME TAIRE ? INTERDIT DE ME PLAINDRE ET DE TOUTES FACONS, NI CURATRICE, NI JUGES NE M'ECOUTENT.
N'y-a-t-il pas de quoi s'étonner ?
j'ai une bonne et une mauvaise nouvelle.
Par laquelle voulez-vous que je commence ?
Par la mauvaise !
La mauvaise : c'est qu'on essaye de m'empêcher de vous révéler la bonne (par non accès à mes documents, silence à mes questions)
La bonne : c'est que je ne peux pas m'empêcher de transgresser l'interdit.
Tout d'abord, il s'agit d'une CURATELLE. J'AI DES DROITS et notamment DE M'INTERESSER A MES AFFAIRES AVEC L'ASSISTANCE DE LA PERSONNE MANDATEE.
MAIS, LA JUSTICE DECIDE DE MON SORT, CONFISQUE MON ARGENT, LE CONFIE A UNE COMPTABLE EXPERIMENTEE QUI N'ASSURE PAS TOUS MES BESOINS !
MON PERE SE TROUVE OBLIGE D'HONORER DES FRAIS (comme un surplus important d'hospitalisation) et POUR ELLE, CE QUI EST PAYE N'EST PAS REMBOURSABLE MEME SI MON COMPTE EST SUFFISAMMENT ALIMENTE.
CET ARGENT CONFIE NE M'APPARTIENT PLUS.
Alors je me pose des questions.
Est-ce que ce système est honnête ?
L'UDAF est une entreprise qui fonctionne au rendement. L'ARGENT EST UTILISE POUR LE FAIRE FRUCTIFIER.
COMME JE N'EN VOIS PAS LA COULEUR, JE TROUVE CE SYSTEME DOUTEUX, HONTEUX ET DANGEREUX.
Il s'agit d' une oeuvre de bienfaisance devenue une ENTREPRISE dont la MATIERE PREMIERE est HUMAINE.
Les abus sont légalisés ou bien étouffés !
Il faut en conclure que beaucoup de monde y trouve son intérêt POUR QUE JE NE PUISSE PAS FAIRE VALOIR MES DROITS.
Cette curatelle se poursuit sans même une once de conscience de ces metteurs en scène.
On me fait comprendre que je n'ai plus mon mot à dire à propos de mon avenir.
On dispose de moi et de mes biens. Voilà tout. C'est normal. Tout est normal.
C'est cela que l'on appelle "aider à l'épanouissement de l'homme en tant qu'individu ?"
C'est cela qui est appelé "aide à l'autonomie" ?
Mais dans le cas où le curateur se passe de la signature du propriétaire du logement où se rend la personne majeure protégée (et du majeur protégé bien sûr mais il a le droit) pour faire un contrat avec une agence immobilière qui n'est pas intervenue ni auprès du propriétaire, ni du majeur protégé pour la location ?
IL Y A FAUTE ENVERS 1 TIERS DE LA PART DU CURATEUR (et ce n'est pas la seule faute depuis presque 6 ans). MONSIEUR LE JUGE PEUT REGULARISER CELA ?
EN OUTRE, pour le curateur ad hoc, qui a vérifié des comptes qui dataient d'avant la mesure, il ne pouvait étudier que ceux établis 2 ans avant la mise sous mesure et, d'après ce que j'ai lu, seulement 5 ans après que cette mesure ait été prise.
Je suis sous mesure depuis mars 2005. Le curateur ad hoc a été nommé en septembre 2010. Je lui ai remis mes documents le 17/09/2010 et son compte-rendu est tombé en 2011 et sous scellés bien sûr.
SON COMPTE-RENDU n'est PAS VALABLE et il a permis d'extorquer 115000,- euros à mon père et lui fait perdre 105000,- euros.
J'ai réclamé mes documents. Le 1/3 m'a été rendu. Il manque, notamment, les comptes en 2005 de mon fils qui a été curateur quelques mois. Ces comptes étaient accompagnés d'un courrier de Madame la Juge qui soulevait le problème d'un studio (voir plus loin) sur lequel elle a fermé les yeux pendant 6 ans pour donner le soin, avant sa mutation, à son successeur de faire un BILAN BIDON par l'intermédiaire du curateur ad hoc.
Le CYNISME est de rigueur :
Un médecin assermenté en 2010 change son diagnostic favorable en défavorable à la suite de l'intervention de la curatrice.
Celle-ci me dit, après coup, "j'ai suivi le diagnostic du médecin assermenté pour établir mon compte-rendu sur vous à Monsieur le Juge".
QU'EST DEVENU le diagnostic favorable précédent ?
Il a été carrément enlevé de la circulation pour me forcer à faire appel à un autre médecin qui s'est rangé, après coup, du côté de la curatrice.
Je rajouterais bien quelque chose mais c'est un gros mot.
C'EST UN PIEGE. ILS FONT TOUT POUR ME FAIRE PASSER POUR UNE PARANOIAQUE EN PLUS D'UNE BIPOLAIRE.
S'IL M'ETAIT DONNE LA MOINDRE EXPLICATION, JE N'EN SERAIS PAS A ME POSER AUTANT DE QUESTIONS depuis 2 ANS.
Mais, il n'ont pas tout à fait tort : paranoïaque, je le deviens grâce à leurs bons soins.
Mon choix de musique pour l'égalité
[[http://youtu.be/k2W4-0qUdHY]]
PAR une VERITABLE fraternité **
Paroles :
Nous sommes le monde, nous sommes les enfants, nous sommes ceux par qui arriveront des jours meilleurs ...**
??
Il faut le dire vite où en langue étrangère
Suite, revue et transformée :
Il vient un temps où l'on reçoit un appel au secours
Où le monde doit se dresser comme un seul homme
Nous ne pouvons continuer
de prétendre, jour après jour,
que quelqu'un
//saura changer d'un seul coup de gomme
ce qu'engendre un système qui ôte la liberté.//
Extraits de Midnight Express - Section 13
Bad Machine
[[http://youtu.be/fRiSnqgVy88]]
[[http://youtu.be/shlBZZ-IQYY]]
Juste pour montrer dans quel sens je tourne
Sketch
[[http://youtu.be/T5_X1tafmqo]]
Vous pourrez trouver, plus bas, mon portrait.
CURATELLE 512 A REBONDISSEMENTS
Ce blog représente une recherche d'informations sur mon cas précis mais sachez qu'il peut s'adapter à tous les majeurs protégés qui ont besoin, ou pas, de mesure juridique.
MA SUSPICION EST LEGITIME ET A ETE ENTRETENUE PAR UNE OMISSION VOLONTAIRE D'INFORMATIONS, PUIS UN REFUS.**
J'ACCUSE
la gérante mandatée d'avoir aliéné mes droits,
de m'avoir fait croire que je n'avais pas droit de regard sur mes affaires,
d'être intervenue auprès d'organismes divers afin que je ne puisse pas obtenir d'informations,
d'être intervenue auprès d'un médecin assermenté pour lui demander de transformer son diagnostic de favorable en défavorable, de s'être accaparé ce diagnostic alors qu'il était à ma demande et payé par mes soins.
En outre, j'accuse la curatrice d'avoir détourné ma correspondance personnelle,
de ne pas m'avoir fait prendre connaissance des documents administratifs me concernant,
de m'avoir laissé souffrir physiquement notamment par manque de chaussures handicapées
et d'avoir utilisé des mesures d'intimidation.
Je reprends les points de la charte bafoués :
- respect de la dignité de la personne et de son intégrité
- droit à l'information
- consentement éclairé et participation de la personne
- droit à une intervention personnalisée essentiellement pour retrouver l'autonomie et donc la possibilité de réinsertion
- le droit à l'accès aux soins
mais, sur ce point, je reste mitigée. Je n'avais, par manque d'informations, que sa désapprobation pour ce genre de frais
+ tous ce qui concerne les problèmes d'argent :
- l'excédent aurait dû être laissé à ma disposition. Blocage bancaire avec retraits ponctuels espacés sur autorisation.
Et ce qui a fait déborder le vase :
- de n'avoir pas honoré mes factures et d'en avoir laissé ce soin à mon père.
- éventuellement d'avoir grugé les Juges ?
En tous cas des mesures ont été prises à mon encontre qui ont eu la conséquence de faire considérer tous les frais de mon père comme dons manuels et de l'avoir puni de son dévouement (et non générosité) envers moi en lui faisant perdre 105000,- euros (intervention de Madame La Juge avant de quitter son poste et par volonté de me nuire puisqu'elle était au courant depuis le début des arrangements financiers pour que mon père récupère sa mise) tout en l'escroquant de 115000,- supplémentaires pour qu'il ne soit pas possible de dire qu'elle est dans son tort.
La situation est la suivante :
J'ai été mise sous curatelle et évidemment sous influence de l'entourage social et médical.
Plus tard, j'apprends que la curatrice n'avait pas à m'évincée de mes affaires.
J'en demande les causes à Madame la Juge mais cela n'a pas l'air d'être son problème.
Alors, je cherche par moi-même le pourquoi du comment et je rencontre des barrages qui n'ont pas lieu d'être.
J'apprends que la curatrice va devenir auxiliaire de Justice.
Je n'arrive déjà pas à me faire entendre d'un organisme sans statut et de la Justice, cela ne présage rien de bon pour moi. Je m'inquiète.
J'ai pris perpet puisque je suis d'avant la loi du 5 mars 2007. La mesure est révisable jusqu'en 2014 mais la curatrice a son mot à dire quant au maintien de la mesure.
Elle ne m'a pas apporté son assistance. J'en déduis donc que le dossier qu'elle remettra au juge sera défavorable pour ma réinsertion.
Mais pourquoi n'a-t-elle pas répondu à mes demandes d'explications ?
Logiquement soit parce qu'elle me sait autonome,
soit parce qu'elle a quelque chose à cacher,
soit parce que la situation a dégénéré et que ce que j'ai découvert quant au fonctionnement des tutelles en général n'est bon à révéler.
"Toute prétendue réforme du système tutélaire ne relèverait-elle pas d'une nouvelle escroquerie judiciaire, sociale et politique ?"
Quel est l'objectif ? PROTEGER ?
BIZARREMENT : les pouvoirs publics semblent frappés par la passion de l'ignorance.
POURQUOI, sous curatelle, mon souhait de m'intéresser, de participer à mes affaires,
d'en reprendre le contrôle progressivement m'est-il REFUSE ??
Ceci se fait de façon secrète : barrages au niveau des organismes. J'ai beau demander la raison, personne ne me répond !
Intéressant article sur la SPA en danger.
Rien à voir ? Et pourtant ....
Je l'ai signé avec ces mots :
8518. Signé par annick louise - le 21/04/2011 à 22:00:32
Le cynisme est un fléau qui prend de l'ampleur dans une société ou l'économie est plus importante que l'homme lui-même. Alors, les animaux, nos meilleurs amis ou pas, pas de pitié. Encore une fois, ce n'est de la faute à personne puisque de l'humanité il ne reste plus que le nom. (Mais là, j'exagère. Individuellement, la plus grande majorité des gens n'est pas méchante. C'est le système qui est cruel. Ce qui n'empêche pas de dire que certains en sont à l'origine).
[[<a href="http://www.mesopinions.com/Qu-advient-il-de-la-SPA---Quel-detournement-de-sa-vocation-a-lieu-sous-la-gouverne-de-l-administratrice-provisoire---petition-petitions-c2a8d7f32d2b760b59acc3cf08beaf96.html" target="_blank" title="petition"><img src="http://www.mesopinions.com/_images/petition-1.gif" style="border:0;" alt="petition"/></a>]]
Signature pétition
[[<a href="http://www.mesopinions.com/Qu-advient-il-de-la-SPA---Quel-detournement-de-sa-vocation-a-lieu-sous-la-gouverne-de-l-administratrice-provisoire---petition-petitions-c2a8d7f32d2b760b59acc3cf08beaf96.html" target="_blank" title="petition">Signer la petition</a>]]
"La manipulation de la personnalité est une des pires choses qui puisse être faite à un être humain. Il y a quelque chose de pire que mettre un terme au corps de quelqu'un : mettre un terme à son être, à sa volonté, à son objectivité, à sa liberté la plus profonde pour l'utiliser et l'exploiter vilement.
Ceci est précisément ce que beaucoup de groupes, organisations et individus font actuellement avec d'autres. Le lavage de cerveau est quelque chose qui se fait actuellement de manière régulière. C'est quelque chose qui est dans la rue, à l'école, dans la politique, dans la religion… il ne nous est pas étranger, même si personne ne nous a dit de quoi il en retourne. C´est un sujet tabou et occulte à la connaissance générale, parce que beaucoup d'organisations puissantes ont en lui beaucoup trop d'intérêt. C'est un danger sérieux pour les jeunes, pour la société complète et un danger grave pour les libertés. Une société libre dans la manière n´a aucune valeur si elle n'est pas libre sur ce qui est le plus important, sur le fond.
Et la meilleure manière de prévoir et d'essayer de déraciner ce problème est l'information, la connaissance que la manipulation de l'esprit est quelque chose qui existe, qui est utilisé pour exploiter des individus, des sociétés et des nations complètes. Il ne s'agit pas d'alarmer, mais de prévoir et, surtout, d'informer. L'ignorance est le meilleur bouillon de culture pour la manipulation et la connaissance à l´époque où nous vivons n'est pas seulement un droit mais une obligation.
La véritable liberté n'est pas seulement quelque chose qui a à voir avec les aspects quotidiens de la vie. La véritable liberté est dans la libre pensée, dans la capacité de critique et d'analyse, dans la capacité de remettre en question et passer au tamis de la propre raison et des propres critères toute affirmation, idée ou doctrine qu'on nous veut imposer. Cette liberté profonde est la base et l'essence du meilleur de la condition humaine. Sans cette liberté nous nous exposons à être endoctrinés, être manipulés, et vivre la vie que d'autres veulent que nous vivions, RENONCER A CE QUE NOUS SOMMES VRAIMENT POUR LE BENEFICE D'INTERETS ETRANGERS."
ENQUÊTE PERSONNELLE
MON CAS :
CURATELLE 512 en mars 2005 à la suite d'une dépression après divorce.
REFORME : de par la loi 2007, mise en vigueur en 2009 :
seules les personnes atteintes d'une maladie psychiatrique
ou physique empêchant l'expression de la volonté feront
l'objet d'une protection juridique.
Maladie psychiatrique subite décelée chez moi en 2010 (bipolarité !?)
et programmation en cours du maintien de la mesure ???
Il y a forcément quelque chose qui m'échappe. LA LOI du 5 mars 2007, ARTICLE 425 du code civil :
POSSIBILITES DE MISES SOUS MESURES pour altérations mentales ou physiques médicalement constatées QUI EMPECHENT L'EXPRESSION DE LA VOLONTE.
C'est à ce stade que rien n'est clair.
Altérations mentales qui empêchent l'expression de la volonté, (et je précise la volonté d'expression pour ne rien omettre)?
Même chose pour les altérations physiques.
Il y a une vilaine OMISSION. C'est sous-entendu : ne pas pouvoir s'exprimer PHYSIQUEMENT et MENTALEMENT.
Il paraîtrait que sont mises en cause les altérations mentales qui empêchent de pourvoir à ses intérêts ?
Prodigue ? La Loi 2007 a supprimé cette cause.
Ne pas savoir compter ? J'ai un BTS de secrétaire comptable avec titularisation de la Chambre de Commerce et d'Industrie.
Comme ce ne sont pas des altérations, CETTE BIPOLARITE TOMBE A PIC mais bipolaire n'entraîne pas, à tous les coups, dépensière.
RESUME.
Divorce difficile sur plusieurs années,
dépression avec alcoolisations,
hospitalisation longue avec prescriptions massives d'antidépresseurs,
mise sous curatelle après 6 mois d'hôpital,
sortie définitive fin 2007 et désintoxication urgente des médicaments prescrits.
Erreur décelée par le psychiatre de la clinique : je n'avais pas de couverture thymorégulatrice pour accompagner les antidépresseurs.
Appétit pénible (faim + nausées)
soif permanente
vessie déréglée
prise de poids très importante,
hypothyroïdie décelée.
Et je serais devenue bipolaire alors que les documents en ma possession, qui datent d'avant l'hospitalisation, n'attestent d'aucune psychose.
Ma réaction :
COMPRENDRE C'EST DESOBEIR ? MAIS POURQUOI SUIS-JE, BIPOLAIRE OU PAS, DANS L'OBLIGATION DE SUBIR LES ABUS DE CETTE CURATELLE et bien entendu ... DE ME TAIRE ? INTERDIT DE ME PLAINDRE ET DE TOUTES FACONS, NI CURATRICE, NI JUGES NE M'ECOUTENT.
N'y-a-t-il pas de quoi s'étonner ?
j'ai une bonne et une mauvaise nouvelle.
Par laquelle voulez-vous que je commence ?
Par la mauvaise !
La mauvaise : c'est qu'on essaye de m'empêcher de vous révéler la bonne (par non accès à mes documents, silence à mes questions)
La bonne : c'est que je ne peux pas m'empêcher de transgresser l'interdit.
Tout d'abord, il s'agit d'une CURATELLE. J'AI DES DROITS et notamment DE M'INTERESSER A MES AFFAIRES AVEC L'ASSISTANCE DE LA PERSONNE MANDATEE.
MAIS, LA JUSTICE DECIDE DE MON SORT, CONFISQUE MON ARGENT, LE CONFIE A UNE COMPTABLE EXPERIMENTEE QUI N'ASSURE PAS TOUS MES BESOINS !
MON PERE SE TROUVE OBLIGE D'HONORER DES FRAIS (comme un surplus important d'hospitalisation) et POUR ELLE, CE QUI EST PAYE N'EST PAS REMBOURSABLE MEME SI MON COMPTE EST SUFFISAMMENT ALIMENTE.
CET ARGENT CONFIE NE M'APPARTIENT PLUS.
Alors je me pose des questions.
Est-ce que ce système est honnête ?
L'UDAF est une entreprise qui fonctionne au rendement. L'ARGENT EST UTILISE POUR LE FAIRE FRUCTIFIER.
COMME JE N'EN VOIS PAS LA COULEUR, JE TROUVE CE SYSTEME DOUTEUX, HONTEUX ET DANGEREUX.
Il s'agit d' une oeuvre de bienfaisance devenue une ENTREPRISE dont la MATIERE PREMIERE est HUMAINE.
Les abus sont légalisés ou bien étouffés !
Il faut en conclure que beaucoup de monde y trouve son intérêt POUR QUE JE NE PUISSE PAS FAIRE VALOIR MES DROITS.
Cette curatelle se poursuit sans même une once de conscience de ces metteurs en scène.
On me fait comprendre que je n'ai plus mon mot à dire à propos de mon avenir.
On dispose de moi et de mes biens. Voilà tout. C'est normal. Tout est normal.
C'est cela que l'on appelle "aider à l'épanouissement de l'homme en tant qu'individu ?"
C'est cela qui est appelé "aide à l'autonomie" ?
A QUOI SERT LA CHARTE DES DROITS ET LIBERTES DE LA PERSONNE MAJEURE PROTEGEE tant mise en valeur par l'UNAF ?
MON ANALYSE :
Par mon vécu, je mets en cause le handicap de la Société qui se dirige inexorablement vers une nouvelle forme de FASCISME :
J'ai conscience des différents niveaux du mot fascisme et de l'exagération dans le contexte mais, en ce qui me concerne, ce n'est qu'une sorte d'affront (à la hauteur du mépris qui m'a été infligé) puisque je l'ai transformé en
Fatalement Asservir Ses Compatriotes Invalides Sous Mesures Eliminatoires.
Evidemment, je ne suis pas une déportée qui subis la torture.
Je suis une exclue de la société et cela me fait bien plus de mal que le bien qui était censé m'être apporté.
Je ne renie pas que j'ai eu besoin d'aide à un moment donné mais cela fait bientôt 7 ans maintenant que je suis divorcée.
J'ai passé le cap. Pourquoi s'acharne-t-on à vouloir me garder dans cette situation très inconfortable ?
Ce système de protection me maintient prisonnière mais surtout NE RESPECTE RIEN
et SE JUSTIFIE DERRIERE DES LOIS QUI ARRANGENT
RENIE LES FAITS et CACHE LES JUSTIFICATIFS.
Cette association de sens du terme FASCISME me semble justifiée.
Les Droits de l'Homme et les déontologies sont bafoués
Ce qui était une VERTU est devenu un VICE bien CACHE
dans une société ou seul l'argent est le moteur
A REMARQUER : j'ai lu que
Des dispositions légales protègent les droits des patients
Conseillers, avocats, médecins, non-professionnels sont à la disposition DES PATIENTS QUI LE DESIRENT. Encore faut-il qu'ils soient au courant.
JE N'AI PAS VU L'OMBRE D'UN CONSEILLER.
CONSTATATION SIMILAIRE POUR LA JUSTICE ET L'ASSOCIATION COMPTABLE :
PAS D'EXPLICATION. JAMAIS D'EXPLICATION !!
ET LES DOCUMENTS SONT MIS AUTOMATIQUEMENT SOUS SCELLES ET NON CONSULTABLES !! Car cette histoire de pouvoir recevoir des explications, C'EST DU VENT.
DROLES DE METHODES ....
ET IDENTIQUES à celle du gouvernement.
Pour bien me faire comprendre, j'établis une liste avec exemples au hasard en parallèle pour mettre en évidence les méthodes similaires.
Le jusqu'en-boutisme a aussi ses limites.
Les préoccupations des Français sont :
•la situation de l'emploi
•le pouvoir d'achat
•la différence sociale
•les perspectives d'avenir pour nos enfants
•les libertés publiques
Les principaux défauts de ce gouvernement capitaliste avec quelques exemples au hasard :
Mépris, insulte à intelligence, manque de respect :**
Principal objectif : enrichir les riches, appauvrir les pauvres
Détournement des sondages, trafic d'influences
Film http://www.dailymotion.com/video/x6r5g4_nos-enfants-nous-accuseront_news
"nos enfants nous accuseront". La France est championne d'Europe de pesticides.**
Cynisme :**
Sarkozy et MAM (Michelle Alliot Marie) favorables aux dictateurs
**
Manipulation :**
Sarkozy fait cacher les photos compromettantes avec les dictateurs
**
Hypocrisie, mensonges :**
Les caisses de l'Etat sont VIDES mais les poches des notables sont PLEINES
MAM dément que ses parents ont volé le peuple tunisien
Hortefeux défend MAM
Fillon passe des week-end à la campagne à 27000,- euros aux frais de l'état**
A ce propos :<a href="http://www.mesopinions.com/halte-a-la-hausse-du-carburant-a-la-pompe-petition-petitions-98fae5bf8b8dcf731b6622ba11667bab.html" target="_blank" title="petition"><img src="http://www.mesopinions.com/_images/petition-1.gif" style="border:0;" alt="petition"/></a>
Signer la pétition contre la hausse du carburant
<a href="http://www.mesopinions.com/halte-a-la-hausse-du-carburant-a-la-pompe-petition-petitions-98fae5bf8b8dcf731b6622ba11667bab.html" target="_blank" title="petition">Signer la petition</a>
Despotisme :
REDUIRE LES DEPENSES SOCIALES
Suppression des postes (PTT , enseignement, services
publics, tribunaux ...)
Le profit à tout prix :
Un monde basé sur l'argent par les requins de la haute finance au détriment du bien-être du français moyen.
Force est de constater qu'aujourd'hui nous vivons une société
d'exclusion et non plus d'inclusion.
Paroles de Monsieur le Médiateur de la République
Je réclame :
- une vraie liberté d'expression
- la dissolution du gouvernement
- la création d'une nouvelle constitution
- la fin de l'impunité de toute autorité
- la séparation du pouvoir et du monde des affaires
- et l'arrêt des trafics d'influences médiatiques non vérifiés
Reprise des termes ci-dessus avec un exemple frappant à l'appui pour chacun relatif à cette curatelle
Mépris, insulte à intelligence, manque de respect :
C'est le lot des exclus de la société. La dignité leur est enlevée. Ils sont mal considérés aussi bien par leur encadrement
que par les gens en général. Argent confisqué donc pas intéressants. Méfiance envers eux par ignorance
Cynisme :
La curatrice quoi qu'elle fasse ou dise est protégée par la justice. Aucune aide à l'autonomie ne m'a été apportée donc pas
de possibilité de constituer un dossier favorable à la réinsertion sociale
Manipulation :
Les médecins experts s'en réfèrent, après coup, à la curatrice pour établir leur diagnostic. Selon ses dires, ils mettent leur serment
d'hypocrate dans leur poche et leur mouchoir dessus
Hypocrisie, mensonges :
Dernièrement,
la curatrice nie avoir reçu deux exemplaires du diagnostic d'un médecin assermenté qui avait promis de me remettre
l'un sous pli cacheté, l'autre en duplicata (favorable bien sûr).
Elle aurait reçu uniquement l'original.
L'aurait, après en avoir pris connaissance (défavorable),
elle-même, mis sous pli cacheté à l'attention du Tribunal.
Elle n'est pas habilitée à prendre connaissance des courriers destinés au Juge.
Ce document a été mis sous pli cacheté par le médecin pour transmission au Juge.
De plus, il aurait du m'être remis puisque je l'ai payé.
Inutile de dire que je n'ai pas été remboursée.
Despotisme :
Elle n'est pas au courant de mes besoins impératifs. Ayant les deux jambes cassées, j'ai, à présent, une lombalgie évolutive
par manque de chaussures handicapées.
Rien d'étonnant, nous n'avons aucun suivi relationnel.
Elle est juste une expert-comptable. Son objectif est de garder ses clients.
Le profit à tout prix :
L'intérêt d'une association est évidemment de garder le maximum d'argent pour le faire travailler pour son propre compte chapeautée par l'UNAF :
cette immense usine comptable à faire du profit avec l'argent d'autrui sans prendre le moindre risque et faire marcher sa boutique
au détriment des "protégés" de la Justice.
TOUT LE MONDE FAIT CE QU'IL PEUT ?
Belle association de bienfaisance !
ET LA JUSTICE S'OPPOSE A CE QUE JE M'EN PLAIGNE.
N'EST-CE PAS DE LA MALTRAITANCE ?
J'"EMMERDE" TOUT LE MONDE a sous-entendu le dernier médecin en date après son coup de fil à la curatrice ?
IL FAUDRAIT POUR CELA QUE J'EN VOIS DU MONDE !
Mes propos font partie du domaine du tout est VRAI mais FAUT pas dire.
Les autorités ont tous pouvoirs. **C'est cela une démocratie ?
CONSTERNATION PERSONNELLE :
LA VULNERABILITE n'est plus due à mon état de santé MAIS AU FAIT QUE LA JUSTICE ME MAINTIENNE DANS CET ETAT.
Cette "Justice" n'est-elle pas adaptable à ce qu'est devenue notre société ?
DANS CE CAS C'EST TOUT NOTRE SYSTEME POLITICO-JUDICIAIRE (COMME
POLITICO-INDUSTRIEL) QUI EST MACHIAVELIQUE
EXTRAIT de COLLECTIF MARY READ – “5000 ans d'erreurs”
L'Homme est son pire bourreau, son propre preneur d'otages
Même si les frontières m'encerclent je serai toujours un clandestin. Je ne brandirai pas de drapeaux, je n'en éprouve pas le besoin.
Au delà de leurs barrières mon regard se pose plus loin.
Espérer qu'un jour il n'y ait plus de pays, plus de gouvernement, plus rien.
Utopique mais j'aime rêver à cela. De l'Europe aux tropiques sans avoir besoin d'un visa.
Le capital divise tout. C'est même son arme de combat.
Multiplier les horreurs c'est son gilet par balle.
Tu vois tous les jours les mêmes guerres pour les mêmes terres, les mêmes qui crèvent
et les mêmes qui enterrent.
Tout ça pour des aberrations géographiques, découper à la règle un continent comme l'Afrique.
Souvent que pour du fric et du pouvoir, c'est vrai que c'est bien plus pratique
de faire d'un pays un mouroir,
piller ses richesses le cul dans son fauteuil sans se mouvoir et dire qu'on a fait tout cela
sans le vouloir.
On ne récolte que ce que l'on sème, toutes ces erreurs, agriculture-dictature,
mais dans nos coeurs ne coule aucun sang pur.
Les charters séparent pour un papier ou un tampon les fils de leur mère,
les filles de leur père car les états ne considèrent que la nation.
Nationalisme, état de droit, douane ou fascisme, il n'y a qu'un pas.
DEPUIS 2 ANS QUE JE POSE DES QUESTIONS, TOUS SE GARDENT BIEN DE ME REPONDRE. Alors, je demande, pour finir cette page, EST-CE QUE C'EST NORMAL ?
http://forum.aufeminin.com/forum/psycho1/__f58399_psycho1-Ecoeuree-de-l-udaf-pour-les-majeurs-proteges.html
MON ANALYSE :
Par mon vécu, je mets en cause le handicap de la Société qui se dirige inexorablement vers une nouvelle forme de FASCISME :
J'ai conscience des différents niveaux du mot fascisme et de l'exagération dans le contexte mais, en ce qui me concerne, ce n'est qu'une sorte d'affront (à la hauteur du mépris qui m'a été infligé) puisque je l'ai transformé en
Fatalement Asservir Ses Compatriotes Invalides Sous Mesures Eliminatoires.
Evidemment, je ne suis pas une déportée qui subis la torture.
Je suis une exclue de la société et cela me fait bien plus de mal que le bien qui était censé m'être apporté.
Je ne renie pas que j'ai eu besoin d'aide à un moment donné mais cela fait bientôt 7 ans maintenant que je suis divorcée.
J'ai passé le cap. Pourquoi s'acharne-t-on à vouloir me garder dans cette situation très inconfortable ?
Ce système de protection me maintient prisonnière mais surtout NE RESPECTE RIEN
et SE JUSTIFIE DERRIERE DES LOIS QUI ARRANGENT
RENIE LES FAITS et CACHE LES JUSTIFICATIFS.
Cette association de sens du terme FASCISME me semble justifiée.
Les Droits de l'Homme et les déontologies sont bafoués
Ce qui était une VERTU est devenu un VICE bien CACHE
dans une société ou seul l'argent est le moteur
A REMARQUER : j'ai lu que
Des dispositions légales protègent les droits des patients
Conseillers, avocats, médecins, non-professionnels sont à la disposition DES PATIENTS QUI LE DESIRENT. Encore faut-il qu'ils soient au courant.
JE N'AI PAS VU L'OMBRE D'UN CONSEILLER.
CONSTATATION SIMILAIRE POUR LA JUSTICE ET L'ASSOCIATION COMPTABLE :
PAS D'EXPLICATION. JAMAIS D'EXPLICATION !!
ET LES DOCUMENTS SONT MIS AUTOMATIQUEMENT SOUS SCELLES ET NON CONSULTABLES !! Car cette histoire de pouvoir recevoir des explications, C'EST DU VENT.
DROLES DE METHODES ....
ET IDENTIQUES à celle du gouvernement.
Pour bien me faire comprendre, j'établis une liste avec exemples au hasard en parallèle pour mettre en évidence les méthodes similaires.
Le jusqu'en-boutisme a aussi ses limites.
Les préoccupations des Français sont :
•la situation de l'emploi
•le pouvoir d'achat
•la différence sociale
•les perspectives d'avenir pour nos enfants
•les libertés publiques
Les principaux défauts de ce gouvernement capitaliste avec quelques exemples au hasard :
Mépris, insulte à intelligence, manque de respect :**
Principal objectif : enrichir les riches, appauvrir les pauvres
Détournement des sondages, trafic d'influences
Film http://www.dailymotion.com/video/x6r5g4_nos-enfants-nous-accuseront_news
"nos enfants nous accuseront". La France est championne d'Europe de pesticides.**
Cynisme :**
Sarkozy et MAM (Michelle Alliot Marie) favorables aux dictateurs
**
Manipulation :**
Sarkozy fait cacher les photos compromettantes avec les dictateurs
**
Hypocrisie, mensonges :**
Les caisses de l'Etat sont VIDES mais les poches des notables sont PLEINES
MAM dément que ses parents ont volé le peuple tunisien
Hortefeux défend MAM
Fillon passe des week-end à la campagne à 27000,- euros aux frais de l'état**
A ce propos :<a href="http://www.mesopinions.com/halte-a-la-hausse-du-carburant-a-la-pompe-petition-petitions-98fae5bf8b8dcf731b6622ba11667bab.html" target="_blank" title="petition"><img src="http://www.mesopinions.com/_images/petition-1.gif" style="border:0;" alt="petition"/></a>
Signer la pétition contre la hausse du carburant
<a href="http://www.mesopinions.com/halte-a-la-hausse-du-carburant-a-la-pompe-petition-petitions-98fae5bf8b8dcf731b6622ba11667bab.html" target="_blank" title="petition">Signer la petition</a>
Despotisme :
REDUIRE LES DEPENSES SOCIALES
Suppression des postes (PTT , enseignement, services
publics, tribunaux ...)
Le profit à tout prix :
Un monde basé sur l'argent par les requins de la haute finance au détriment du bien-être du français moyen.
Force est de constater qu'aujourd'hui nous vivons une société
d'exclusion et non plus d'inclusion.
Paroles de Monsieur le Médiateur de la République
Je réclame :
- une vraie liberté d'expression
- la dissolution du gouvernement
- la création d'une nouvelle constitution
- la fin de l'impunité de toute autorité
- la séparation du pouvoir et du monde des affaires
- et l'arrêt des trafics d'influences médiatiques non vérifiés
Reprise des termes ci-dessus avec un exemple frappant à l'appui pour chacun relatif à cette curatelle
Mépris, insulte à intelligence, manque de respect :
C'est le lot des exclus de la société. La dignité leur est enlevée. Ils sont mal considérés aussi bien par leur encadrement
que par les gens en général. Argent confisqué donc pas intéressants. Méfiance envers eux par ignorance
Cynisme :
La curatrice quoi qu'elle fasse ou dise est protégée par la justice. Aucune aide à l'autonomie ne m'a été apportée donc pas
de possibilité de constituer un dossier favorable à la réinsertion sociale
Manipulation :
Les médecins experts s'en réfèrent, après coup, à la curatrice pour établir leur diagnostic. Selon ses dires, ils mettent leur serment
d'hypocrate dans leur poche et leur mouchoir dessus
Hypocrisie, mensonges :
Dernièrement,
la curatrice nie avoir reçu deux exemplaires du diagnostic d'un médecin assermenté qui avait promis de me remettre
l'un sous pli cacheté, l'autre en duplicata (favorable bien sûr).
Elle aurait reçu uniquement l'original.
L'aurait, après en avoir pris connaissance (défavorable),
elle-même, mis sous pli cacheté à l'attention du Tribunal.
Elle n'est pas habilitée à prendre connaissance des courriers destinés au Juge.
Ce document a été mis sous pli cacheté par le médecin pour transmission au Juge.
De plus, il aurait du m'être remis puisque je l'ai payé.
Inutile de dire que je n'ai pas été remboursée.
Despotisme :
Elle n'est pas au courant de mes besoins impératifs. Ayant les deux jambes cassées, j'ai, à présent, une lombalgie évolutive
par manque de chaussures handicapées.
Rien d'étonnant, nous n'avons aucun suivi relationnel.
Elle est juste une expert-comptable. Son objectif est de garder ses clients.
Le profit à tout prix :
L'intérêt d'une association est évidemment de garder le maximum d'argent pour le faire travailler pour son propre compte chapeautée par l'UNAF :
cette immense usine comptable à faire du profit avec l'argent d'autrui sans prendre le moindre risque et faire marcher sa boutique
au détriment des "protégés" de la Justice.
TOUT LE MONDE FAIT CE QU'IL PEUT ?
Belle association de bienfaisance !
ET LA JUSTICE S'OPPOSE A CE QUE JE M'EN PLAIGNE.
N'EST-CE PAS DE LA MALTRAITANCE ?
J'"EMMERDE" TOUT LE MONDE a sous-entendu le dernier médecin en date après son coup de fil à la curatrice ?
IL FAUDRAIT POUR CELA QUE J'EN VOIS DU MONDE !
Mes propos font partie du domaine du tout est VRAI mais FAUT pas dire.
Les autorités ont tous pouvoirs. **C'est cela une démocratie ?
CONSTERNATION PERSONNELLE :
LA VULNERABILITE n'est plus due à mon état de santé MAIS AU FAIT QUE LA JUSTICE ME MAINTIENNE DANS CET ETAT.
Cette "Justice" n'est-elle pas adaptable à ce qu'est devenue notre société ?
DANS CE CAS C'EST TOUT NOTRE SYSTEME POLITICO-JUDICIAIRE (COMME
POLITICO-INDUSTRIEL) QUI EST MACHIAVELIQUE
EXTRAIT de COLLECTIF MARY READ – “5000 ans d'erreurs”
L'Homme est son pire bourreau, son propre preneur d'otages
Même si les frontières m'encerclent je serai toujours un clandestin. Je ne brandirai pas de drapeaux, je n'en éprouve pas le besoin.
Au delà de leurs barrières mon regard se pose plus loin.
Espérer qu'un jour il n'y ait plus de pays, plus de gouvernement, plus rien.
Utopique mais j'aime rêver à cela. De l'Europe aux tropiques sans avoir besoin d'un visa.
Le capital divise tout. C'est même son arme de combat.
Multiplier les horreurs c'est son gilet par balle.
Tu vois tous les jours les mêmes guerres pour les mêmes terres, les mêmes qui crèvent
et les mêmes qui enterrent.
Tout ça pour des aberrations géographiques, découper à la règle un continent comme l'Afrique.
Souvent que pour du fric et du pouvoir, c'est vrai que c'est bien plus pratique
de faire d'un pays un mouroir,
piller ses richesses le cul dans son fauteuil sans se mouvoir et dire qu'on a fait tout cela
sans le vouloir.
On ne récolte que ce que l'on sème, toutes ces erreurs, agriculture-dictature,
mais dans nos coeurs ne coule aucun sang pur.
Les charters séparent pour un papier ou un tampon les fils de leur mère,
les filles de leur père car les états ne considèrent que la nation.
Nationalisme, état de droit, douane ou fascisme, il n'y a qu'un pas.
DEPUIS 2 ANS QUE JE POSE DES QUESTIONS, TOUS SE GARDENT BIEN DE ME REPONDRE. Alors, je demande, pour finir cette page, EST-CE QUE C'EST NORMAL ?
http://forum.aufeminin.com/forum/psycho1/__f58399_psycho1-Ecoeuree-de-l-udaf-pour-les-majeurs-proteges.html
Ecoeurée de l udaf pour les majeurs protégés | |
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Ecoeurée de l udaf pour les majeurs protégés
Bonjour, Je suis écoeurée par l'organisation, le fonctionnement de l 'UDAF, explication: Il y a de cela + de 2 ans, j' ai mis ma Maman sous protection par le juge des Tutelles, il a décidé qu'elle soit pris en charge par l UDAF, Pour les joindre: Très difficile, Pour s'occuper, tout mettre en oeuvre pour ma mére pas le temps, à peine 45 minutes /mois et encore sauf sion en fait la demande, si on insiste............ Je vous assure il faut pratiquement faire du harcélement poiur les joindre (car en +,les tuteurs ont des horaires de fonctionnaires) Sio ma mere est aux urgences durant le week end, ils sont INJOIGNABLES Ils ne réalisent même pas que ce sint des personnes FRAGILES tant au niveau psychologique qu'affextif ou pour les besoisn au quotidien comme pour l'administration. J' ai mis ma Maman sous protection dans le cadre où je ne souhaitais pas la prndre en charge du fait de notre lourd passé familial. IRONIE DU SORT: Cela fait 2 ans que je m'en occupe comme je le peux: Démarches administratives, rechercher un appartement, un placement dans un MAS ou APAHJetc............ Les tuteurs, tutrices de l'udaf, chez eux c'est l'usine: Sa tutrice m'a rexpliqué qu'elle a environ 50 dossiers à gérer et qu encore elle doit leur rendre visite normalement 1 fois/mois et qu'elle ne l'applique pas forcémént faute de temps............ Comment ne pas pouvoir prendre de temps pr chaque cas particulier alors que ce sont des personnes désocialisées, pratiquement seules car il n'y a personnes autour d'eux comme pour les personnes âgées, abandonnées..........alors que ce sont des personnes soi disant reconnues HANDICAPEES, comment se fait-il que l'ETAT, les juges de Tutelles, les assermentent alors que qd on le vit ts les jrs, on ressent qu'ils n'ont aucune compétences pour faire face à ces personnes, à ces situations. Voilà mon coup de gueule, si vs vivez ou avez vecu la même situation, si vs avez des idées ou si vs vs êtes défendus contre ce système à 2 vitesses, merci pour vos témoignages. Féminin275 |
Vol des biens d'une personne sous tutelle [Résolu/Fermé]
nounou - Dernière réponse le 4 févr. 2011 à 22:33
Bonjour,
Ma maman est sous tutelle de l'UDAF, elle vient d'être placée défintivement em maison (maladie d'alzheimer), elle ne vit plus chez elle depuis le 16 janvier 2008. La tutrice nous avez demandé à chacun des 4 enfants la liste de souvenirs que nous voulions récupérer, ce que j'ai fait. Le juge des tutelles a ordonné à la tutrice de nous convoquer pour la libération du logement (location communale) et le partage des autres biens. RDV fixé le 16 septembre 2008 par courrier de la tutrice. Le 5 septembre 2008 je recois un courrier de l'UDAF me disant que le RDV n'a plus lieu d'être. Je téléphone à la tutrice qui me dit que le logement à été vidé et les clefs rendu au 1er septembre 2008 par mes 3 frères et soeurs. Le juge des tutelles et la tutelle étant placés devant le fait accompli. Le juge des tutelles leur a écrit en demandant de restituer les meubles qui doivent ^etre placé en garde-meuble n'ayant pas eu d'accord amiable entre nous. Le juge des tutelles ne parle que de meubles, quand sera-t-il des bijoux, des photos et de la liste de souvenirs que j'ai sollicité. En ce moment je me bats pour récupérer les habits d'hiver de ma maman pour pouvoir aller la promener, même cela a disparu.
S'ils les ont jeté, que faire?
Quel est le recours dont je peux bénéficier?
Quelles démarches dois-je entreprendre pour récupérer les quelques souvenirs que j'ai sollicité ?
Cordialement
Evelyne
Ma maman est sous tutelle de l'UDAF, elle vient d'être placée défintivement em maison (maladie d'alzheimer), elle ne vit plus chez elle depuis le 16 janvier 2008. La tutrice nous avez demandé à chacun des 4 enfants la liste de souvenirs que nous voulions récupérer, ce que j'ai fait. Le juge des tutelles a ordonné à la tutrice de nous convoquer pour la libération du logement (location communale) et le partage des autres biens. RDV fixé le 16 septembre 2008 par courrier de la tutrice. Le 5 septembre 2008 je recois un courrier de l'UDAF me disant que le RDV n'a plus lieu d'être. Je téléphone à la tutrice qui me dit que le logement à été vidé et les clefs rendu au 1er septembre 2008 par mes 3 frères et soeurs. Le juge des tutelles et la tutelle étant placés devant le fait accompli. Le juge des tutelles leur a écrit en demandant de restituer les meubles qui doivent ^etre placé en garde-meuble n'ayant pas eu d'accord amiable entre nous. Le juge des tutelles ne parle que de meubles, quand sera-t-il des bijoux, des photos et de la liste de souvenirs que j'ai sollicité. En ce moment je me bats pour récupérer les habits d'hiver de ma maman pour pouvoir aller la promener, même cela a disparu.
S'ils les ont jeté, que faire?
Quel est le recours dont je peux bénéficier?
Quelles démarches dois-je entreprendre pour récupérer les quelques souvenirs que j'ai sollicité ?
Cordialement
Evelyne
29 mars 2007
Le scandale des tutelles détournées UDAF (sud-ouest)
ENQUETE. --L'Udaf des Pyrénées-Atlantiques a été placée sous contrôle judiciaire, suite à des malversations. Un cas d'école qui pose le problème du contrôle des tutelles
Le scandale des tutelles détournées
:Xavier Sota |
Tribunal de Pau, le 22 janvier. Coup de tonnerre pour les 163 salariés : l'Udaf 64 est placée en redressement judiciaire
PHOTO JEAN-LOUIS DUZERT
|
Du jamais-vu. Depuis leur création dans la foulée du vote de la loi sur les tutelles de 1968, aucune structure d'accompagnement d'adultes protégés ne s'était retrouvée dans une telle ornière. L'Union départementale des associations familiales (Udaf) des Pyrénées-Atlantiques est un cas unique. Depuis le 22 janvier, l'organisme chargé notamment de la gestion des tutelles est placé sous la tutelle... de la Justice. Le tribunal de grande instance de Pau l'a mise en redressement judiciaire. L'Udaf gère 2 800 dossiers de tutelle, dont 1 700 d'adultes. Elle affiche un déficit avoisinant 6 millions d'euros. Un véritable cas d'école, révélateur d'un système à bout de souffle. Si l'Udaf continue à assurer ses missions, ses salariés s'attendent à faire les frais d'un plan social. C'est un rapport demandé par le préfet des Pyrénées-Atlantiques qui a mis au jour des malversations à l'origine de ce naufrage comptable.
Détournements, mode d'emploi. « L'Udaf a organisé pendant de nombreuses années le détournement à son profit de fonds dont elle avait la charge au nom de publics particulièrement défavorisés », relève le haut fonctionnaire du Trésor public qui a signé l'audit. A titre d'exemple, l'Udaf percevait sur ses comptes le traitement des adultes placés sous tutelle. Une fois les traites payées, l'argent transitait sur un compte pivot. La manne était placée. Les intérêts venaient abonder le budget de l'Udaf. Une pratique courante dans le monde associatif, jusqu'à ce qu'elle soit interdite en 98. Or les comptes de l'Udaf ont été certifiés jusqu'en 2003. Depuis, les comptes pivots ont été clôturés. Désormais, les adultes sous tutelle perçoivent leurs ressources sur un compte individuel ouvert à leur nom. L'Union 64 continue aujourd'hui à rembourser, via un emprunt, les majeurs protégés.
Pour ce qui est des personnes placées à l'hôpital ou en maison de retraite, l'Udaf prélevait directement la prestation allouée par la Ddas aux auxiliaires de vie, alors que la tâche était assurée par l'établissement d'accueil. L'Udaf 64 usait aussi de la double facturation : la manoeuvre consistait à faire payer l'Etat pour des dossiers financés par ailleurs. 2 millions d'euros auraient été ainsi court-circuités depuis 1986. L'audit souligne toutefois que la situation s'est assainie depuis 2004. Une nouvelle direction a pris les rênes de l'organisme à cette époque. C'est elle qui alerté les pouvoirs publics. Paradoxe : la fin de ces pratiques a creusé le déficit. Les entrées d'argent ont chuté alors que les dépenses restaient identiques.
Grand train. A qui ont profité ces détournements ? « A tout le monde », estime l'actuel président, Jean Lembezat. « Il y a eu des dérapages honteux. Les fonds récupérés illicitement ont surtout permis d'améliorer les conditions de travail des salariés. » L'Udaf menait grand train et développait une politique d'embauche dispendieuse. La seule masse salariale (6,5 millions d'euros) représentait 80 % du budget annuel. Avec un taux d'encadrement hors normes. « Certains se retrouvaient à des postes de direction alors qu'ils ignoraient tout de la réalité de notre travail », raconte un membre du personnel. « Des amis d'amis cela fonctionnait par cooptation étaient parachutés dans la hiérarchie avec un salaire idoine. » De menus avantages, allant de la place de parking pour les salariés en passant par des réunions de travail somptueuses au château d'Idron, ou encore des pots de départ dont la note approchait les 6 000 euros. Un management peu scrupuleux sur la dépense. En témoignent certaines dispositions de la convention collective. « Quand dans une entreprise normale la part des oeuvres sociales versées au CE représente 1,25 % de la masse salariale, à l'Udaf elle était de 2,49 % », ajoute Jean Lembezat.
Mandat judiciaire. « L'Udaf exécutait un mandat judiciaire. Ce qui s'est fait l'a été avec l'assentiment de la Justice et de l'Etat », rétorque Jean-François Blanco, l'avocat des salariés. Il y eut bien des procédures d'alerte déposées en 2003 et 2004 réclamant la non-validation des comptes. Le parquet de l'époque n'y avait pas donné suite.
Dans les semaines à venir, les errements passés pourraient connaître de plus amples développements d'un point de vue pénal. Une enquête préliminaire a été ouverte au parquet de Pau pour « abus de confiance » après la remise de l'audit. La section recherche de la gendarmerie de Pau vient de boucler son enquête. Reste que la situation dans les Pyrénées-Atlantiques est révélatrice d'un système à bout de souffle à l'échelon national.
Une situation d'autant plus inquiétante qu'aujourd'hui on compte 700 000 adultes protégés, soit un adulte sur 80. En 2010, ce chiffre pourrait monter à un million en raison du développement des maladies d'Alzheimer et de Parkinson. « Nous n'avons pas les moyens de répondre et d'exercer notre droit de regard dans chaque dossier. Il n'y a pas d'auditions dans la moitié des cas », souligne un magistrat aquitain investi dans ce secteur. « Les tutelles ne représentent qu'une partie de la tâche des juges d'instance. Ils doivent gérer, en outre, les contentieux civils et de police et participer aux audiences. La justice fait office de voiture balai de la société. Un tiers des cas ne relève pas des tutelles mais de l'aide sociale. »
Pénurie de magistrats. En Béarn, trois juges gèrent 1 800 dossiers d'adultes protégés. Dans d'autres tribunaux, certains magistrats peuvent se retrouver avec plus de 1 200 dossiers à leur charge. Selon les calculs effectués par des syndicats de magistrats, la France, en équivalent temps plein, compte 80 juges pour 600 000 dossiers. « Pas suffisant pour être irréprochable, il y a forcément des placements abusifs », poursuit le magistrat.
L'autre écueil se situe dans l'exécution de la mesure. « Là encore, nous n'avons pas le temps de contrôler ce que font les tuteurs. Il y a des abus qui alimentent un halo de suspicion autour de la gestion des tutelles. Les scandales se situent pourtant à la marge. » Fin février, le Sénat a adopté, après l'Assemblée nationale, une réforme des tutelles. Elle recentre les tutelles aux seules personnes atteintes d'une altération mentale. Et renvoie les cas d'exclusion sociale aux Départements. Le projet de loi privilégie la tutelle familiale, limite au strict nécessaire la mise sous protection judiciaire, et entend professionnaliser le secteur des tuteurs.
D'ici à son application (pas avant l'année prochaine), l'Udaf des Pyrénées-Atlantiques aura fait l'objet d'un plan social. Et si ses créanciers (Etat et collectivités locales) exigeaient le remboursement, elle pourrait avoir mis la clé sous la porte. Or, aucune structure n'est à ce jour en mesure d'assurer les missions de l'Udaf.
Détournements, mode d'emploi. « L'Udaf a organisé pendant de nombreuses années le détournement à son profit de fonds dont elle avait la charge au nom de publics particulièrement défavorisés », relève le haut fonctionnaire du Trésor public qui a signé l'audit. A titre d'exemple, l'Udaf percevait sur ses comptes le traitement des adultes placés sous tutelle. Une fois les traites payées, l'argent transitait sur un compte pivot. La manne était placée. Les intérêts venaient abonder le budget de l'Udaf. Une pratique courante dans le monde associatif, jusqu'à ce qu'elle soit interdite en 98. Or les comptes de l'Udaf ont été certifiés jusqu'en 2003. Depuis, les comptes pivots ont été clôturés. Désormais, les adultes sous tutelle perçoivent leurs ressources sur un compte individuel ouvert à leur nom. L'Union 64 continue aujourd'hui à rembourser, via un emprunt, les majeurs protégés.
Pour ce qui est des personnes placées à l'hôpital ou en maison de retraite, l'Udaf prélevait directement la prestation allouée par la Ddas aux auxiliaires de vie, alors que la tâche était assurée par l'établissement d'accueil. L'Udaf 64 usait aussi de la double facturation : la manoeuvre consistait à faire payer l'Etat pour des dossiers financés par ailleurs. 2 millions d'euros auraient été ainsi court-circuités depuis 1986. L'audit souligne toutefois que la situation s'est assainie depuis 2004. Une nouvelle direction a pris les rênes de l'organisme à cette époque. C'est elle qui alerté les pouvoirs publics. Paradoxe : la fin de ces pratiques a creusé le déficit. Les entrées d'argent ont chuté alors que les dépenses restaient identiques.
Grand train. A qui ont profité ces détournements ? « A tout le monde », estime l'actuel président, Jean Lembezat. « Il y a eu des dérapages honteux. Les fonds récupérés illicitement ont surtout permis d'améliorer les conditions de travail des salariés. » L'Udaf menait grand train et développait une politique d'embauche dispendieuse. La seule masse salariale (6,5 millions d'euros) représentait 80 % du budget annuel. Avec un taux d'encadrement hors normes. « Certains se retrouvaient à des postes de direction alors qu'ils ignoraient tout de la réalité de notre travail », raconte un membre du personnel. « Des amis d'amis cela fonctionnait par cooptation étaient parachutés dans la hiérarchie avec un salaire idoine. » De menus avantages, allant de la place de parking pour les salariés en passant par des réunions de travail somptueuses au château d'Idron, ou encore des pots de départ dont la note approchait les 6 000 euros. Un management peu scrupuleux sur la dépense. En témoignent certaines dispositions de la convention collective. « Quand dans une entreprise normale la part des oeuvres sociales versées au CE représente 1,25 % de la masse salariale, à l'Udaf elle était de 2,49 % », ajoute Jean Lembezat.
Mandat judiciaire. « L'Udaf exécutait un mandat judiciaire. Ce qui s'est fait l'a été avec l'assentiment de la Justice et de l'Etat », rétorque Jean-François Blanco, l'avocat des salariés. Il y eut bien des procédures d'alerte déposées en 2003 et 2004 réclamant la non-validation des comptes. Le parquet de l'époque n'y avait pas donné suite.
Dans les semaines à venir, les errements passés pourraient connaître de plus amples développements d'un point de vue pénal. Une enquête préliminaire a été ouverte au parquet de Pau pour « abus de confiance » après la remise de l'audit. La section recherche de la gendarmerie de Pau vient de boucler son enquête. Reste que la situation dans les Pyrénées-Atlantiques est révélatrice d'un système à bout de souffle à l'échelon national.
Une situation d'autant plus inquiétante qu'aujourd'hui on compte 700 000 adultes protégés, soit un adulte sur 80. En 2010, ce chiffre pourrait monter à un million en raison du développement des maladies d'Alzheimer et de Parkinson. « Nous n'avons pas les moyens de répondre et d'exercer notre droit de regard dans chaque dossier. Il n'y a pas d'auditions dans la moitié des cas », souligne un magistrat aquitain investi dans ce secteur. « Les tutelles ne représentent qu'une partie de la tâche des juges d'instance. Ils doivent gérer, en outre, les contentieux civils et de police et participer aux audiences. La justice fait office de voiture balai de la société. Un tiers des cas ne relève pas des tutelles mais de l'aide sociale. »
Pénurie de magistrats. En Béarn, trois juges gèrent 1 800 dossiers d'adultes protégés. Dans d'autres tribunaux, certains magistrats peuvent se retrouver avec plus de 1 200 dossiers à leur charge. Selon les calculs effectués par des syndicats de magistrats, la France, en équivalent temps plein, compte 80 juges pour 600 000 dossiers. « Pas suffisant pour être irréprochable, il y a forcément des placements abusifs », poursuit le magistrat.
L'autre écueil se situe dans l'exécution de la mesure. « Là encore, nous n'avons pas le temps de contrôler ce que font les tuteurs. Il y a des abus qui alimentent un halo de suspicion autour de la gestion des tutelles. Les scandales se situent pourtant à la marge. » Fin février, le Sénat a adopté, après l'Assemblée nationale, une réforme des tutelles. Elle recentre les tutelles aux seules personnes atteintes d'une altération mentale. Et renvoie les cas d'exclusion sociale aux Départements. Le projet de loi privilégie la tutelle familiale, limite au strict nécessaire la mise sous protection judiciaire, et entend professionnaliser le secteur des tuteurs.
D'ici à son application (pas avant l'année prochaine), l'Udaf des Pyrénées-Atlantiques aura fait l'objet d'un plan social. Et si ses créanciers (Etat et collectivités locales) exigeaient le remboursement, elle pourrait avoir mis la clé sous la porte. Or, aucune structure n'est à ce jour en mesure d'assurer les missions de l'Udaf.
ADMINISTRATION DES TUTELLES POUR LES MAJEURS….LA AUSSI C’EST LA "LOI DU CHIFFRE" QUI PREVAUT !
Les incapables majeurs !….C’est sous ce vocable que l’on regroupe la foultitude de tous ceux que la vie a tour à tour abîmés, esseulés et qui se sont retrouvés un jour en situation de fragilité et de vulnérabilité ….Parmi eux des infirmes physiques et n’ayant plus de famille, d’autres de tous âges et qui se retrouvent également seuls et dans l’impossibilité de gérer ni leurs revenus ni leur quotidien d’une façon générale…..
Parmi eux certains sont employés à des travaux qui leur sont réservés, ils gagnent des salaires souvent modestes et qu’une pension de tutelle vient compléter…..D’autres sont pensionnés à 100% ……Dans tous les cas ce dont ils disposent est géré par l’UDAF ( Union Départementale des Associations Familiales) qui est placée sous l’autorité du Conseil Général de chaque Département.
A titre d’exemple une personne bénéficiant d’une tutelle voit toutes ses dépenses gérées par l’UDAF qui règle ses loyers et ses factures et ne lui laisse à disposition que le solde souventt modeste pour subvenir à ses besoins personnels ou à ses loisirs…..
Voilà bien ce qui a pour effet d’exciter les appétits de bailleurs propriétaires de logement en général petits ( Je ne parle que des logements bien entendu)….L’UDAF règle souvent les loyers beaucoup plus régulièrement que certains locataires privés qui peuvent réserver des aléas…..Pour cette raison beaucoup de bailleurs réservent leurs logements à des locataires sous tutelle et garantis par l’UDAF….Bien évidemment cela reste leur droit…Il y trouvent ce qu’ils croient être une sécurité, tandis que l’UDAF y retrouve son compte en plaçant des personnes sans trop s’occuper de ce qui peut en advenir par la suite…..
Il va de soi que toutes ces personnes fragiles placées sans parfois trop de discernement, là où l’UDAF dispose d’opportunités en échange d’une garantie de règlement des loyers auprès de bailleurs frileux ne se retrouvent pas obligatoirement dans des quartiers, des maisons ou des immeubles forcément adaptés à leur situation propre….
Il est tout aussi évident, que dans bien des cas il s’agit de personnes en souffrance et dont l’état nécessiterait souvent un suivi psychologique ou médical adapté…..Dès lors que le seul fait pour l’UDAF de les avoir "placés" dans des immeubles collectifs correspond dans leur jargon à une "réadaptation" ayant valeur de fin de mission……La politique du chiffre y trouve son compte tout comme en matière de contrôles routiers ou fiscaux……
Ce n’est un secret pour personnes que bien des structures qui avaient été instituées dans ce but ont été supprimées depuis …..Il en est ainsi notamment des Dispensaires d’Hygiène Mentale, et qui au delà de leur nom un peu rébarbatif étaient en fait des organismes d’assistance permanente envers toute la population fragilisée et principalement assistée….
Aujourd’hui l’UDAF est restée un organisme essentiellement administratif….Les Femmes et les Hommes qui auraient besoin de dialogue ou d’assistance se sont retrouvés avec des numéros de dossiers….leurs revenus sont administrés, leurs créanciers sont payés …..Et ils sont disséminés dans la ville….Livrés à eux mêmes, le plus souvent dans la solitude…. Quant au suivi "humain" dont ils peuvent bénéficier je crains bien qu’il n’aille pas plus loin que celui de leurs comptes personnels….A part ça comme on dit en langage de notre temps…."Même si ça ne gagne pas, ça débarrasse !"
Là comme ailleurs, le but étant sans doute d’arriver à ce que cela ne fasse pas trop de vagues….
Et pourtant il peut arriver que cela en fasse !….
Pour tout vous dire, cela doit faire six années que je loue un appartement dans un immeuble collectif à Orléans….A côté de mon logement: un studio appartenant à un Monsieur au demeurant plutôt sympa et que je n’ai rencontré que quelque fois …..Quand il changeait de locataire "sous tutelle"……
La première d’entre elles que j’ai très peu connue était originaire d’un Pays du Maghreb…..Un matin une ambulance est venue le chercher…..Elle s’était suicidée !….Sans doute un problème que L’UDAF n’avait pas vu venir …..On lui avait trouvé un toit….Après tout ça devait pouvoir suffire….
Puis ce fut une jeune femme , invalide et se déplaçant en fauteuil et qui travaillait dans une entreprise spécialisée….A noter que l’UDAF n’aurait jamais du accepter de la placer dans cet immeuble qui ne disposait pas d’un accès prévu pour personnes handicapées….Alors on lui avait ménagé un accès par l’arrière de l’immeuble avec passage par le parking extérieur…..Une sorte de parcours de combattant totalement inadmissible dans le cas de cette jeune femme….
Durant les trois années que dura notre voisinage nous eûmes les meilleurs rapports….Bien sûr qu’elle a souvent eu besoin d’aide, de services, entre les problèmes courants, les courses, les lessives que nous lui faisions couramment lorsque le linge était trop lourd….Elle était devenue une amie …..Nous pouvions compter les uns sur les autres…..
On ne change pas un cheval qui gagne….Et à son départ, son propriétaire se mit en quête d’une nouvelle locataire labellisée UDAF…..Pour la sécurité du Loyer…..Et là: mauvaise pioche !
Oh….Ce n’est pas parce qu’elle venait d’un pays africain par ailleurs indéterminé…Disons simplement qu’elle était plutôt "frappée" au delà de toutes les espérances……Et que surtout seule une paroi de plâtre creux nous séparait…..
Dans les meilleurs jours elle chantait à tue tête et tellement fort que je m’étais résolu à attendre que cela s’arrête…..Gueuler à ce point là, il était impossible que ça dure très longtemps….. Pour le reste j’avais un peu l’impression de descendre le Zambèze en pirogue! …..Et après tout pourquoi pas: ça ne coûte pas cher et on a un peu l’impression de voyager pour pas cher !
Le plus souvent elle gueulait au téléphone sans que l’on sache très bien pourquoi ni après qui…..Plusieurs fois je lui dis bonjour…..N’obtenant jamais ni la moindre réponse ni le moindre sourire, j’ai fini par me lasser…..J’étais tombé sur une raciste et voilà tout !….
Les choses s’aggravèrent pourtant lorsqu’elle se lança dans des expériences de sorcellerie qui l’amenaient à taper des heures entières avec un marteau sur la fragile cloison qui nous sépare et juste au niveau de mon écran d’ordinateur….
Puis ce furent des inscriptions mystérieuses sur sa porte extérieure, l’arrachage du papier du hall d’entrée qui venait de’être changé, le passage de produits détersifs sur le carrelage du hall d’entrée qui est aujourd’hui rayé et strié à jamais…..Et puis enfin… La cerise sur le gâteau: le bouchage de l’écoulement des eaux usagées de l’ensemble de l’immeuble par un sac bourré de papiers lui appartenant…..Débordement de toutes les baignoires et de toutes les chasses d’eau…..Un régal qui a nécessité l’envoi d’un camion de vidange et de pompage!…..
Ceci se passait il y a un peu plus d’un an….La facture des travaux fut répercutée au propriétaire qui la transmit à l’UDAF, qui elle même remboursa le propriétaire……A ce propos mais rappelez moi …..D’où vient l’argent de l’UDAF ? …..Mais du Conseil Général bien sur !……Mais l’argent du Conseil Général ?……Mais c’est le vôtre , mais c’est le mien comme il se doit…..Ainsi donc, la boucle est bouclée!
Et voilà bien pourquoi nous payons pour être emm…dans un premier temps au sens figuré….Et quand nous le sommes vraiment au sens propre du terme…..nous payons encore pour nous faire demerder…….
Et puis voici qu’hier et pour la seconde fois, notre "Sorcière Bien Aimée" vient à nouveau de nous reboucher tous les chiotes de l’immeuble avec du papier journal…..Bingo!….Nous nous sommes retrouvés à nouveau avec les caves inondées et nous tenant le ventre à deux mains en espérant que ça puisse tenir encore quelques heures…..
Cet après midi un autre camion est venu pomper comme les Shadocks pour que nous puissions retrouver un peu d’hygiène corporelle nous mêmes….On s’en fout: l’UDAF paiera!
Alors que fera l’UDAF pour éviter à nouveau aux résidents de l’immeuble de connaître une troisième version du même incident…..A ce niveau d’inadaptation aux règles élémentaires de la vie en société dans un immeuble collectif et faute de trouver une autre solution pour sa prise en charge, sans doute pourrait on envisager de brancher le logement de cette dame directement sur le tout à l’égout pour court circuiter le réseau de l’immeuble…..En la prévenant tout de même dans le cas où elle tombe!
Malgré les tourments qu’elle nous cause je crains bien que l’UDAF s’en sera finalement débarrassée juste le temps de la ranger dans les Affaires Classées" même si cela se fait dans des conditions humaines qui restent à son propre détriment et qu’elle sans doute besoin de davantage d’assistance personnalisée…..Son propriétaire aura cru trouver une sécurité pour le paiement de ses loyers……Tout semble aller pour le mieux dans le meilleur monde indifférent possible !….
Cela fait quelques semaines déjà que j’ai écrit au Syndic de l’Immeuble pour lui signaler cette situation qui menaçait de s’aggraver encore……Jamais il ne m’a répondu!
Hélas, je ne suis moi même que locataire, et il semble que ce soit devenu courant chez les Syndics de considérer les Locataires comme des "sous habitants" par rapport aux propriétaires dont ils détiennent leur pouvoirs…..Et ceci même si ça ne les gêne pas pour les "arranger" par ailleurs et à l’occasion…..
Cette mise à l’index des locataires est d’autant plus injustifiée qu’ils contribuent eux mêmes au charges communes de la co- propriété…..Ceci est sans doute une cause qu’il conviendra de défendre un jour dès lors qu’un locataire occupe son logement en respectant les règles essentielles de respect du patrimoine….Même s’il ne fait que de le louer…..
Est il vraiment nécessaire de préciser que compte tenu de ces récents évènements, et en raison même du climat qui en découle, nous nous sentions pour le moment assez loin de l’esprit de concorde, de paix et de convivialité recherché les initiateurs de la "Fête des Voisins" !…..
Pour l’heure, je sais que le moment venu ……Je pourrais toujours m’adresser à L’UDAF pour me trouver un logement où je pourrais toujours m’amuser à boucher les chiotes en toute impunité et au compte de l’UDAF…..Du Conseil Général…..Et de vous tous !
Alors à vot’ bon coeur Messieurs Dames !
C'est une fonction qui demande un minimum de maturité et de droiture. Comme le demande toute charge de magistrat m'objectera-t-on. Certes. Mais le juge des tutelles a pour mission de décider du sort de personnes médicalement réputées fragiles. Il prend des décisions qui impactent chaque jour sur la vie de ces personnes, et peut donc avoir des conséquences sur leur santé.
A Montpellier, c'est rien moins qu'une catastrophe.
J'ai exposé dans ma Requête près la CPI comment on pouvait en toute illégalité y refuser à un enfant de majeur vulnérable la consultation d'un dossier bourré de dénonciations calomnieuses le concernant, et valider ces calomnies en les énonçant dans une décision de justice sans les avoir au préalable vérifiées.
Je l'ai aussi indirectement pointé dans ma lettre ouverte à notre Garde des Sceaux, Madame Christiane Taubira.
On peut en voir une illustration dans mon courrier à Didier Moaté qui témoigne de franchissements de ligne proprement ahurissants.
Rien n'y a fait.
Ainsi donc, non contente d'avoir profité du jugement qu'elle avait à prononcer pour en donner une motivation qui foule aux pieds les avis médicaux et donne de moi une image délibérément détestable et mensongère, la juge des tutelles a continué son travail de sape entransférant la tutelle à deux de mes soeurs contre lesquelles j'ai déposé plainte pour lesdites dénonciations calomnieuses. Elle n'a pu le faire sans consulter le procureur, parfaitement informé de cette plainte, et pour cause.
Qu'en est-il aujourd'hui ?
Les soins prescrits ne sont toujours pas mis en place. Ils l'ont pourtant étépar le médecin traitant en mai dernier, confirmés en août, avant que leneurologue ne vienne à son tour attester de leur indication en septembre. Ils ont été une nouvelle fois conseillés en mars, au terme d'un accompagnement que j'ai mis en place quand j'étais à Montpellier.
Par ailleurs, ma mère a regardé des années Mezzo avant d'oublier cet ancrage que je lui ai rétabli en mars dernier, obtenant au passage une réduction de son abonnement au câble. L'UDAF l'a déstabilisée par deux fois [1][2] en août, venant enlever de force son modem, puis sa box,résilier un abonnement vieux de plus de cinq ans sans lui demander son avis. J'ai donc pris à mon nom et à mes frais un abonnement qui lui a permis de regarder à nouveau des concerts.
Mes soeurs étant nommées tutrices, j'ai manifesté qu'être remboursée m'aiderait. Devant le refus, j'ai indiqué que je préférais payer et que notre mère ait ce loisir plutôt que la savoir sans. J'ai reçu le remboursement de deux mois, et la box, avec l'affirmation que ma mère avait été "contrainte" de regarder la télé.
Parmi les questions qu'elle me pose :
- qui m'a enlevé Mezzo ?
- pourquoi je n'ai plus de carte pour sortir de l'argent ?
avant de me dire "attends, je vais voir si j'en ai dans mon sac", de compter, recompter, voir si ça lui suffira, non qu'elle en ait un besoin matériel...juste ce besoin de savoir qu'elle peut, si elle a envie, qu'elle n'a pas besoin de demander.
Un conseil à toute personne tant soit peu vulnérable qui cherche une ville agréable pour ses vieux jours : pas Montpellier, le risque est tout sauf négligeable. On peut saisir procureur, association de défense des aînés (alma), rien n'y fait.
Une personne avertie en vaut deux...et il est préférable de savoir que l'acception de la règle de droit, et les relations juge des tutelles-organisations tutélaires à Montpellier est telle qu'une personne faisant l'objet d'une mesure de protection et demandant à un enfant son aide et sa présence peut se voir priver de cette aide par des abus tels que celui-ci, dépourvu de tout fondement légal :
Le juge valide, l'association de lutte contre la maltraitance des aînés fait la sourde oreille. Signaler au Procureur équivaut à pisser dans un violon.
Je me demande parfois ce que devient l'argent des personnes vulnérables qui n'ont pas d'héritier, puisque le lobby des associations tutélaires s'est opposé au contrôle des comptes par le Trésor Public qui tombait sous le sens...sauf à penser qu'il voyait quelque avantage à ce que ces héritages passent entre les mailles d'un filet à l'évidence distendu. L'adage dit bien "pas d'intérêt, pas d'action" ?
ddd
h
http://www.udaf95.fr/index.php/la-representation-dans-les-etablissements-de-sante/429-soupcon-de-maltraitance-a-hopital-charles-richet
Soupçon de maltraitance à Hôpital Charles Richet
HOPITAL CHARLES RICHET à Villiers le Bel
SOUPCONS DE MALTRAITANCE
Le représentant des usagers de l'UDAF du Val d'Oise de cet établissement, Bernard DHAILLY a été interviewé par le journal de France 3 dans le cadre de l'affaire de soupçons de maltraitance à l'hôpital Charles Richet de Villiers le Bel.
Une enquête administrative a été ouverte par l'AP-HP à la suite de deux plaintes déposées contre l'établissement qui accueille des personnes âgées.
En savoir plus, consultez les articles de mars 2014 du Parisien :
Tutelles et spoliations : Les abus d'un pouvoir sur des personnes vulnérables
Extrait : Dossier du Magazine l'Express par Gilles Gaetner 04 octobre 2004
Handicapés, malades mentaux, personnes âgées ou en détresse... Des centaines de milliers de Français se trouvent placés sous protection juridique. Quand ils ne sont pas victimes des carences, voire des dérives d'un système censé veiller sur eux et sur leurs biens. Une réforme s'impose.
Une vieille dame dépouillée de ses économies. Une autre qui voit sa propriété vendue sans percevoir le produit de la transaction. Une autre encore, qui se fait dérober meubles, bijoux et statuettes en ivoire. Des malades mentaux dont les comptes bancaires fondent comme neige au soleil. Des enfants qui font mettre sous tutelle leur père et leur mère, pour mieux dilapider le patrimoine familial... On croit rêver! Pourtant, tous ces exemples ne sont pas les fruits de l'imagination, mais, hélas! sont bien réels.
Selon les statistiques officielles, 600 000 personnes en France sont soit sous tutelle, soit sous curatelle. Leur nombre avoisinerait même les 850 000, avance Me Florence Fresnel, avocate spécialisée dans ce domaine. Selon elle, cette population se répartirait en quatre parts sensiblement égales: les handicapés de naissance, les personnes âgées, les malades mentaux et les exclus de la vie, autrement dit ceux qui ont tout perdu à la suite d'un divorce, d'une longue période de chômage, pour devenir d'authentiques clochards.
Michel Marronnier, président de la Fédération nationale des associations tutélaires (30 000 majeurs protégés sous sa houlette) et très attaché au respect de la déontologie, constate que personne n'est à l'abri d'un tel passage à vide. Il lui arrive en effet de croiser le chemin de médecins, de notaires, d'avocats et même d'élus de la nation mis sous tutelle ou curatelle. Un sort infligé, au XIXe siècle, au père de Foucauld, qui avait une forte propension à la prodigalité.
Spécificité française, le juge des tutelles est chargé d'apporter aide et assistance à cette population fragilisée. C'est lui qui désigne, après avis du médecin de famille et d'un expert, un gérant de tutelle chargé, au jour le jour, de s'occuper des dépenses de la personne protégée. Un principe qui existe depuis une loi de 1968, votée à l'initiative du garde des Sceaux, René Pleven, et, surtout, du Pr Jean Carbonnier, dont tous les étudiants en droit ont étudié le fameux manuel de droit civil.
Pour être choisis, un gérant de tutelle ou un curateur doivent posséder un casier judiciaire vierge et être agréés par le procureur de la République sur une liste de postulants mise à jour chaque année. Une réglementation qui pèche sur un point. Capital: aucune condition de diplôme n'est requise, alors que le gérant de tutelle doit assumer tout à la fois un rôle de banquier, de notaire, voire d'assistant social. Aussi n'est-il guère surprenant que quelques gérants de tutelle, par ignorance ou souvent par esprit de lucre, piétinent allègrement le droit et la morale.
Depuis plusieurs années, des associations tentent de remédier à ces dérives, tout en alertant l'opinion sur le sort de ces milliers de personnes démunies. C'est le cas, par exemple, de l'Association française contre les abus tutélaires (Afcat) qui se constitue partie civile chaque fois qu'elle détecte une victime d'un gérant de tutelle ou qu'elle apprend qu'une personne est placée sous «protection» en dépit d'un état mental tout à fait sain. L'Afcat a pour président un personnage haut en couleur, ancien militant FO aux Hospices civils de Lyon, Claude Petit. A ses côtés, un anthropologue à la retraite. Il se nomme Frank Hagenbucher. Délégué de l'Afcat pour l'Ile-de-France, c'est peu dire qu'il a du caractère et du courage. En juillet 2002, il fit une grève de la faim de vingt et un jours pour protester contre le sort infligé à sa mère, Camille, alors âgée de 92 ans, à l'occasion de la vente avortée de son logement. Le gérant de tutelle n'ayant pas honoré la promesse de vente, les candidats acquéreurs ont porté plainte. Et Camille a été condamnée à leur verser 14 635 €, alors qu'elle n'était même pas informée de cette transaction! Ecœuré par le laxisme du gérant et furieux de voir sa mère, lourdement handicapée, traînée en justice, Frank Hagenbucher a décidé de s'investir à fond dans la lutte contre les abus tutélaires. Désormais, tel un croisé, avec son compère Claude Petit, il ne cesse de les dénoncer...
Des rapports médicaux ignorés ...
Prenez l'exemple de Lucile Choffat, âgée de 83 ans. Alors qu'elle se trouve sous curatelle depuis plusieurs années, elle va vivre un véritable cauchemar. Il y a quatre ans, à la suite d'un incendie, son appartement est sérieusement endommagé. Or la curatrice n'a rien fait du tout, laissant plafonds et murs calcinés tout en se gardant d'effectuer la moindre réparation sur le mobilier. Une attitude d'autant plus incompréhensible que Mme Choffat, bénéficiaire d'une bonne assurance multirisque habitation, n'aurait pas eu un sou à débourser. Incroyable, encore: en quatre ans, Lucile Choffat ne recevra pas le moindre centime pour l'achat de vêtements ou de produits de toilette! Tout au plus s'est-elle vu octroyer 100 euros pour les fêtes de fin d'année 2003. Enfin, quand on apprend qu'un médecin expert a clairement indiqué, dans son rapport en date du 27 avril 2004, que «Mme Choffat ne relève pas d'une mesure de protection juridique», on se dit qu'il y a quelque chose de peu catholique au royaume des tutelles. A force de ténacité et grâce au soutien de l'Afcat, Mme Choffat devrait obtenir courant octobre la levée de sa curatelle.
Son cas n'a rien d'isolé. Dans l'Ain, Jocelyne G. se trouve toujours sous curatelle depuis plus de trois ans. Or le médecin expert s'est montré formel le 17 février 2004: «On ne voit aucun argument pouvant justifier une mesure de protection concernant Mlle G.» A Béziers, Mlle Marie-Christine M., elle aussi sous curatelle, n'a guère eu plus de chance malgré les conclusions du rapport du Dr Jean-François Chiariny, qui écrivait le 27 mars 2003: «Mlle Marie-Christine M. est actuellement apte à gérer les actes de sa vie civile, ne présentant à ce jour aucun trouble psychopathologique [...]. On ne peut donc proposer aucune mesure de protection.» Scandalisée par ces deux histoires, l'Afcat a demandé la mainlevée de la curatelle. Réponse de la justice pour bientôt. En principe...
Des tuteurs peu scrupuleux ...
Les déboires que connaît actuellement une habitante de Lyon sont tout aussi édifiants. Agée de 80 ans, distinguée, toujours pomponnée, elle n'a rien d'une aliénée. Au contraire, elle est même en parfaite santé mentale. Seulement voilà: elle a le tort d'être plutôt fortunée - elle possède plusieurs appartements évalués globalement entre 1 et 2 millions d'euros. De quoi attiser les convoitises de son fils, qui n'a qu'une idée en tête: que sa mère soit mise sous curatelle pour, le cas échéant, gérer ses biens en ses lieu et place. Comment y parvenir? Un beau jour, le fils se rend dans un des appartements de la vieille dame, jette sens dessus dessous les objets qui s'y trouvent et détériore les lieux avec délectation... Puis il prend des photos du désastre, qu'il transmet au juge des tutelles en lui lançant: «Vous voyez bien que ma mère est dérangée!» Impressionné, le magistrat ordonne la mise sous curatelle. Aujourd'hui, l'avocat de la dame, Me Bernard Legal, espère convaincre le juge de l'iniquité de sa décision.
Certes, on peut objecter que 600 magistrats pour s'occuper de 600 000 à 850 000 personnes, c'est bien peu. Car, comme le souligne Me Legal, «le juge doit tout faire: valider, vérifier les comptes de la personne protégée et surveiller le gérant de tutelle. Or, matériellement, c'est impossible». De plus, ces magistrats ne peuvent à longueur de temps décider de la mainlevée de telle ou telle mesure. Mais il y a plus grave: les spoliations dont sont victimes certaines personnes. On entre, là, de plain-pied dans le droit pénal.
Erika Rodier, une retraitée d'origine allemande âgée de 79 ans, connaît depuis des années un sort peu enviable. Habitant la région de Clermont-Ferrand, elle s'est d'abord vue grugée par l'appétit de son concubin, qui a mis la main sur ses biens immobiliers. Puis, en 2002, elle a été mise sous tutelle. Nouvelle déconvenue: le tuteur profite de son état de santé déficient en ne lui allouant que 100 euros d'argent de poche par mois! Une somme qu'il ne lui verse plus depuis mai 2003, selon sa fille, Marcelle Fassion. Elle a beau, depuis des mois, lui réclamer des explications, rien n'y fait. Du coup, excédée, Marcelle Fassion a fini par porter plainte.
A Clermont-Ferrand toujours, un gérant de tutelle se serait livré, lui aussi, à quelques dérapages. Educateur-chef d'un foyer accueillant des mineurs en difficulté, il était mandaté par les tribunaux d'instance de Clermont-Ferrand, Riom et Issoire pour gérer les dépenses de 15 incapables majeurs. Au lieu de remplir sa mission, l'éducateur a préféré utiliser leur argent pour... aller jouer dans divers casinos auvergnats. Un petit jeu qui a duré cinq ans et lui aurait permis de détourner plus de 300 000 euros. Mais le gérant indélicat n'avait pas prévu que, à la suite du décès de l'une de ses proies, une banque, un peu trop curieuse, découvrirait ses agissements. Il a été mis en examen pour abus de confiance aggravé, faux et usage de faux...
Alexis Vaussenat, gérant de tutelle à Belley, dans l'Ain, n'avait pas plus de scrupules. Entre 1994 et 1997, il a détourné 1 million de francs au préjudice de personnes qu'il était censé protéger. Il a fait plus fort que son collègue clermontois en s'attirant les bonnes grâces d'une juge des tutelles, Anne-Marie Bonnet, dont il est devenu l'amant. Aussi, cette dernière n'a eu de cesse de lui confier des dossiers (50 en 1993, 180 en 1997), faisant ainsi fructifier son chiffre d'affaires, qui a atteint très vite 1,3 million de francs par an. Surnommés «les Bonnie and Clyde» des tutelles, ils furent tous deux sévèrement condamnés, Alexis Vaussenat écopant d'une peine de cinq ans d'interdiction professionnelle, tandis qu'Anne-Marie Bonnet était radiée de la magistrature. Au procès, en juin 2000, elle aura cette phrase: «J'ai été une grosse pomme, mais tout le monde faisait pareil à l'époque.» De tels propos laissent sans voix, d'autant plus que ce genre de liaisons dangereuses entre juge et gérant de tutelles ne semble pas avoir totalement disparu...
Face à ces dérives et dysfonctionnements, il est urgent de réformer de fond en comble le régime des tutelles en vigueur depuis plus de trente ans. D'abord, il serait bon d'exiger des gérants de tutelle qu'ils puissent se prévaloir d'une formation sérieuse, mais aussi qu'ils accompagnent psychologiquement les personnes protégées. A peine un tiers des gérants, dit-on, leur rendent visite. Une attitude que déplore Jacqueline Huet, gérante de tutelle dans l'Essonne, réputée pour son sérieux. Elle met un point d'honneur à connaître personnellement les 90 personnes dont elle s'occupe. Avant de préciser: «Vous savez, quand j'arrive à sortir quelqu'un du surendettement, à le réintégrer dans la société, j'éprouve une grande satisfaction morale.»
Parmi les autres pistes à explorer figure l'obligation pour le juge des tutelles d'entendre systématiquement la personne qui va être protégée. Aujourd'hui, une sur trois seulement est auditionnée. On pourrait encore exiger du gérant de tutelle qu'il rende compte de son bilan de gestion au moins une fois par an.
Autant de réformes que souhaitait mettre en œuvre la garde des Sceaux Marylise Lebranchu, en janvier 2002. En vain, puisque la gauche fut renvoyée dans ses foyers cinq mois plus tard... Son successeur, Dominique Perben, également sensibilisé, a lui aussi dans ses cartons tout un arsenal à proposer. Pour l'heure, aucun texte de loi ne semble prêt à être soumis au Parlement.
Un chantier législatif en panne ...
En réalité, un seul progrès - de taille - a eu lieu depuis quatre ans: l'interdiction de recourir aux fameux comptes pivots. Cette pratique a été très en vogue jusqu'à la fin des années 1990 au sein des grandes associations familiales, comme l'Unaf et l'Unapei, qui gèrent souvent des centaines de tutelles ou curatelles. Au lieu d'ouvrir autant de comptes bancaires qu'il y avait d'individus protégés, lesdites associations avaient coutume de n'en ouvrir qu'un seul, adossé à un compte de placement grassement rémunéré. Lequel profitait exclusivement aux associations, qui engrangeaient ainsi des bénéfices pouvant atteindre 300 000 euros par an! Utilisés, ici, pour des investissements immobiliers, là, pour des séminaires, ailleurs, pour des voyages d'agrément. Une façon de faire que le Trésor a assimilée à un abus de confiance... Les juges des tutelles ont fini par interdire cette pratique préjudiciable aux personnes protégées.
A juste titre, le président de la République a fait de la lutte contre le handicap l'un des trois grands chantiers de son quinquennat. Mais il n'empêche, le monde des tutelles est pour l'instant oublié. Jusqu'à quand? Pour quelles raisons? Michel Marronnier avance une explication: «Les gens protégés n'intéressent personne. Ne se livrant à aucun lobbying, ils ne peuvent en aucun cas entretenir un rapport de force avec les pouvoirs publics.» Un constat, hélas! pas forcément faux...
Tuteur et curateur - A chacun son rôle ...
La tutelle constitue un régime d'incapacité totale. C'est le tuteur, appelé également «gérant de tutelle», qui, seul, a la possibilité d'accomplir des actes dits «d'administration», comme la gestion du patrimoine et des revenus de la personne protégée. En revanche, lorsque le tuteur souhaite accomplir des actes dits «de disposition», comme la vente d'immeubles ou de valeurs mobilières, il doit obtenir obligatoirement l'autorisation du juge. Le majeur sous tutelle perd ses droits civiques, notamment le droit de vote. On compte actuellement, en France, 200 000 personnes sous tutelle, dont près des deux tiers sont des femmes.
La curatelle - toujours décidée par le juge des tutelles - est un régime d'incapacité partielle. Elle est ouverte lorsque le majeur «par sa prodigalité, son intempérance, ou son oisiveté» s'expose à tomber dans le besoin ou compromet l'exécution de ses obligations familiales. Un curateur est alors choisi (parents, amis ou toute autre personne) pour l'aider, le conseiller dans les actes de sa vie civile. Le majeur sous curatelle peut percevoir et utiliser à loisir ses revenus, signer un bail d'habitation, rédiger un testament ou encore voter. En revanche, il ne peut vendre des biens immobiliers, effectuer des donations, se marier le cas échéant, que s'il obtient le feu vert du curateur.
Depuis une quinzaine d'années, le nombre des curatelles a doublé avec l'apparition de personnes en grande détresse, victimes de la crise économique ou des aléas de la vie familiale (divorces, surendettement et chômage, notamment). La curatelle a pour objectif de sortir ces nouveaux exclus d'une situation de crise. Environ 400 000 à 500 000 personnes se trouvent aujourd'hui sous ce régime de protection.
par Gilles Gaetner
La curatelle - toujours décidée par le juge des tutelles - est un régime d'incapacité partielle. Elle est ouverte lorsque le majeur «par sa prodigalité, son intempérance, ou son oisiveté» s'expose à tomber dans le besoin ou compromet l'exécution de ses obligations familiales. Un curateur est alors choisi (parents, amis ou toute autre personne) pour l'aider, le conseiller dans les actes de sa vie civile. Le majeur sous curatelle peut percevoir et utiliser à loisir ses revenus, signer un bail d'habitation, rédiger un testament ou encore voter. En revanche, il ne peut vendre des biens immobiliers, effectuer des donations, se marier le cas échéant, que s'il obtient le feu vert du curateur.
Depuis une quinzaine d'années, le nombre des curatelles a doublé avec l'apparition de personnes en grande détresse, victimes de la crise économique ou des aléas de la vie familiale (divorces, surendettement et chômage, notamment). La curatelle a pour objectif de sortir ces nouveaux exclus d'une situation de crise. Environ 400 000 à 500 000 personnes se trouvent aujourd'hui sous ce régime de protection.
par Gilles Gaetner
La vieille dame et les aigrefins ...
Lorsque Marie-Madeleine Hoornaert, une riche Montpelliéraine, meurt le 6 août 2001, à 87 ans, emportée par la maladie d'Alzheimer, ses trois neveux et nièces - ses héritiers - font une drôle de découverte: sa fortune a fondu comme neige au soleil... Etrange, pour une dame qui, à la mort de son mari, Michel, cinq ans plus tôt, héritait d'une fortune évaluée à 10 millions de francs. Et qui se composait d'argent liquide, de lingots, de pièces d'or, d'obligations et de bien d'autres choses... Que s'est-il passé? Tout simplement, la vieille dame, d'abord sous curatelle, puis sous tutelle, depuis le décès de son époux, a été victime d'aigrefins et d'une gestion apparemment peu orthodoxe de l'union départementale des associations familiales (Udaf) de l'Hérault.
Cette histoire sordide serait restée totalement secrète si l'un des héritiers de Marie-Madeleine, Jean-François Roussel, se muant en émule de Sherlock Holmes, n'avait mis le nez dans les affaires de sa tante. C'est ainsi qu'il découvre que l'employée de maison avait coutume de se servir en espèces sonnantes et trébuchantes. L'héritier apprend aussi que Marie-Madeleine s'est laissé convaincre par une démarcheuse des AGF de transformer ses 1,3 million de francs de sicav du Crédit lyonnais - rémunérés 6% par an - en bons au porteur AGF, ne rapportant que 4,4%...
Jean-François Roussel n'est pas au bout de ses surprises lorsqu'il découvre encore que le coffre que Marie-Madeleine Hoornaert possédait au Crédit lyonnais était régulièrement ouvert. Et, chose incroyable, malgré ses demandes réitérées, Roussel ne parvient pas à connaître l'identité de ces visiteurs indiscrets.
Excédé, en compagnie de son frère et de sa soeur, il finit par porter plainte pour «vol, escroquerie et abus de faiblesse», visant, notamment, l'Udaf de l'Hérault, chargée de la tutelle de la vieille dame. L'association a par exemple réglé, les yeux fermés, de faux soins de kinésithérapie et débité non pas une fois par an, mais deux, le compte de la vieille dame pour acquitter son ISF. Aujourd'hui, alors que la justice est saisie, l'expert a toutes les peines du monde à obtenir des documents, tant du côté de l'Udaf que de celui du Crédit lyonnais et des AGF. On comprend pourquoi...
par Jacques Molénat
Cette histoire sordide serait restée totalement secrète si l'un des héritiers de Marie-Madeleine, Jean-François Roussel, se muant en émule de Sherlock Holmes, n'avait mis le nez dans les affaires de sa tante. C'est ainsi qu'il découvre que l'employée de maison avait coutume de se servir en espèces sonnantes et trébuchantes. L'héritier apprend aussi que Marie-Madeleine s'est laissé convaincre par une démarcheuse des AGF de transformer ses 1,3 million de francs de sicav du Crédit lyonnais - rémunérés 6% par an - en bons au porteur AGF, ne rapportant que 4,4%...
Jean-François Roussel n'est pas au bout de ses surprises lorsqu'il découvre encore que le coffre que Marie-Madeleine Hoornaert possédait au Crédit lyonnais était régulièrement ouvert. Et, chose incroyable, malgré ses demandes réitérées, Roussel ne parvient pas à connaître l'identité de ces visiteurs indiscrets.
Excédé, en compagnie de son frère et de sa soeur, il finit par porter plainte pour «vol, escroquerie et abus de faiblesse», visant, notamment, l'Udaf de l'Hérault, chargée de la tutelle de la vieille dame. L'association a par exemple réglé, les yeux fermés, de faux soins de kinésithérapie et débité non pas une fois par an, mais deux, le compte de la vieille dame pour acquitter son ISF. Aujourd'hui, alors que la justice est saisie, l'expert a toutes les peines du monde à obtenir des documents, tant du côté de l'Udaf que de celui du Crédit lyonnais et des AGF. On comprend pourquoi...
par Jacques Molénat
Post-scriptum :
Le gérant de tutelle ou le curateur, pour la curatelle, est soit un particulier (15% des cas), soit une association (70% des cas) qui peut gérer les revenus et patrimoines de centaines de personnes protégées. Pour le reste - pricipalement les hôpitaux de l'Assistance publique -, la tutelle ou curatelle est confiée à des personnels.
Le gérant de tutelle ou le curateur, pour la curatelle, est soit un particulier (15% des cas), soit une association (70% des cas) qui peut gérer les revenus et patrimoines de centaines de personnes protégées. Pour le reste - pricipalement les hôpitaux de l'Assistance publique -, la tutelle ou curatelle est confiée à des personnels.